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Une saison en dos de chameau. Là on gravit la deuxième bosse et donc ça devient plus que sympa avec le duel Axelrod Rhoades qui repasse en central, sans que ce ne soit une surprise à partir du moment où Chuck Sr. avait planté sa petite graine à Sandicot et que Bobby cherchait les racines de l'embrouille. Comme souvent ça éclate royalement au niveau du déclenchement des hostilités, au club pour bousculer l'establishment (cet échange sur le lien paternel...). Chuck a des cartouches, notamment la grosse fusée de l'ex employée d'Axelrod Stephanie Reed assez disposée à collaborer. Ca risque de faire mal et les deux camps sont promis à s'entarter sauvagement (pour notre plus grand plaisir).
Si Bobby est un peu fébrile (j'ai adoré la putain de scène où lui et sa femme prennent chacun leur jet cloné) Chuck a récupéré de ses déboires et se révèle assez en jambes. La politique semble bien lui convenir, sachant que c'est quand même spécial. On ne s'étend pas sur les programmes, on passe tout de suite à la baston de moralité en épluchant le dossier du concurrent Sweeney (ce que sont donc devenues nos propres élections). Wendy a conservé le secret de sa petite coucherie, c'est le genre de coup de massue qui suffirait à faire rentrer Chuck dans sa niche. Donc attention...
"We don't have kings, Dad. We live in a democracy.
- You sound like a fucking hippie."
Si Bobby est un peu fébrile (j'ai adoré la putain de scène où lui et sa femme prennent chacun leur jet cloné) Chuck a récupéré de ses déboires et se révèle assez en jambes. La politique semble bien lui convenir, sachant que c'est quand même spécial. On ne s'étend pas sur les programmes, on passe tout de suite à la baston de moralité en épluchant le dossier du concurrent Sweeney (ce que sont donc devenues nos propres élections). Wendy a conservé le secret de sa petite coucherie, c'est le genre de coup de massue qui suffirait à faire rentrer Chuck dans sa niche. Donc attention...
"We don't have kings, Dad. We live in a democracy.
- You sound like a fucking hippie."