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Note moyenne de cet épisode: 14.0 / 20 (2)
Classement cette saison : 13
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valem91 
12.0
12.0
Qu'est ce qu'il est lent cet épisode. Qu'est ce qu'il y a comme choses qui me dérangent. que des bras cassés, aussi bien la police allemande que Baldwin et que l'équipe des Howard. Le 1er permettait d'entrevoir des choses interresantes, qui font plouf dans le 2éme. Qui trahi qui ? qui est une taupe ? rien de bien original . le suivant sera peut-être le dernier pour moi si ça bouge pas plus.
russel
16.0
16.0
Merci aux showrunners pour avoir dissipé de la plus belle des manières dés le second épisode le flou qui me gênait initialement concernant la justification des mondes jumeaux au coeur de Counterpart. Si tel n'avait pas été le cas je pense que j'aurais été perturbé sur tout le reste, alors que là tout devient parfaitement rationnel dans son aspect fantastique et mieux encore permet de générer des intrigues assez ambitieuses. Il serait intéressant de voir si Star Trek qui exploite la même thématique parvient à retomber sur ses jambes (Lorca à toi de jouer).
Un seul monde donc mais qui s'est divisé en deux à un moment donné (suite à un événement non dévoilé), ça explique du coup pourquoi les mêmes personnes dans les deux dimensions avec beaucoup de similitudes, même si des différences. Si les deux univers étaient restés parallèles en permanence, on aurait sinon logiquement eut notre réalité d'un côté et éventuellement des dinosaures ou toute autre chose de l'autre. La séparation semble assez récente si on se fie au passé révélé de Baldwin puisque les deux clones ont connu une même enfance. Ca doit remonter à 10-15 ans. Est-ce suffisant pour ensuite permettre aux gens de diverger dans leurs comportements? On va dire que oui. Même si les deux Howard ont tout de même de grosses variations de caractère, mais qui semblent devoir s'atténuer (l'accident de l'épouse a marqué le destin de l'un). On a du coup un traitement intéressant autour de l'inné et l'acquis qui s'installe. Chaque duo partage une part d'inné et diverge par son acquis respectif non partagé. Ca ouvre pas mal d'horizons
On éclaire le récit avec toujours la même manque d'empressement. Pas évident de fixer l'époque. A l'image ça tape un peu 80's (à la The Americans), c'est lié au côté germano soviétique de l'environnement, mais comme on a du téléphone portable, c'est forcément post 2000. Pareil pour les motivations de chacun, tout demeure passablement opaque (Pope, Emily...). Ca pourrait devenir rapidement un peu frustrant, mais il y a aussi toujours ces petites séquences d'action où tout s'accélère et qui permet de faire monter la tension. Le show est bien conçu en cela dans son dosage. J'apprécie toujours la rigueur de la narration qui ne se laisse embarquer dans aucune outrance pour se faire mousser. La cible est indéniablement adulte.
Un seul monde donc mais qui s'est divisé en deux à un moment donné (suite à un événement non dévoilé), ça explique du coup pourquoi les mêmes personnes dans les deux dimensions avec beaucoup de similitudes, même si des différences. Si les deux univers étaient restés parallèles en permanence, on aurait sinon logiquement eut notre réalité d'un côté et éventuellement des dinosaures ou toute autre chose de l'autre. La séparation semble assez récente si on se fie au passé révélé de Baldwin puisque les deux clones ont connu une même enfance. Ca doit remonter à 10-15 ans. Est-ce suffisant pour ensuite permettre aux gens de diverger dans leurs comportements? On va dire que oui. Même si les deux Howard ont tout de même de grosses variations de caractère, mais qui semblent devoir s'atténuer (l'accident de l'épouse a marqué le destin de l'un). On a du coup un traitement intéressant autour de l'inné et l'acquis qui s'installe. Chaque duo partage une part d'inné et diverge par son acquis respectif non partagé. Ca ouvre pas mal d'horizons
On éclaire le récit avec toujours la même manque d'empressement. Pas évident de fixer l'époque. A l'image ça tape un peu 80's (à la The Americans), c'est lié au côté germano soviétique de l'environnement, mais comme on a du téléphone portable, c'est forcément post 2000. Pareil pour les motivations de chacun, tout demeure passablement opaque (Pope, Emily...). Ca pourrait devenir rapidement un peu frustrant, mais il y a aussi toujours ces petites séquences d'action où tout s'accélère et qui permet de faire monter la tension. Le show est bien conçu en cela dans son dosage. J'apprécie toujours la rigueur de la narration qui ne se laisse embarquer dans aucune outrance pour se faire mousser. La cible est indéniablement adulte.
C'est Silk qui l'explique à Howard.
Au passage, le personnage de Baldwin devrait donc avoir + de 40 ans, puisqu'à la mort de son père, elle avait l'air d'avoir au moins 10 ans...
Mais l'actrice semble être beaucoup plus jeune. Dommage.
Moi ce que je trouve intéressant dans cet épisode est la conversation de l'ex femme d'Howard dans l'église du monde 2, sous entendant que le monde 1 aurait fait la guerre avec le monde 2 à un moment ? Dans le monde 1 pratiquement personne n'est au courant de l'existante du monde 2, mais ce n'est peut-être pas le cas dans ce dernier, ce qui aurait accentué les différences entre les 2 mondes (un peu comme dans Fringe avec les anomalies), d'ailleurs ce monde 2 semble plus avancé (le tours futuriste) mais aussi plus contrôlé par les services secrets, qui envoie chier les policiers dans l'épisodes 1 alors que dans le monde 1 ils se cachent quand ils arrivent dans le théâtre...
Ce sont ces intrigues là qui vont me faire rester un peu plus longtemps, pour avoir quelques réponses, mais je trouve que c'est un peu cheap quand même (décors très confinés, on balade les personnages sans raisons), je ne suis pas emporté par le rythme lent comme j'ai pu l'être avec Mindhunter par exemple, et J.K. Simmons frôle le ridicule par moment dans son interprétation du Howard 1. C'est une série sympa pour l'instant, mais clairement pas révolutionnaire
Effectivement en fait c'est la mort de sa fille qui peut expliquer que notre Howard diffère de son alt.
Le thème du double n'est pas révolutionnaire mais la confrontation à soi même reste assez inhabituelle à mon sens, même si curieusement récurrente dans plusieurs séries en ce moment (dans Star Trek il n'a pas été écarté que le counterpart pouvait avoir été causé par Lorca). En revanche j'ai un peu peur que ce soit ce qui intéresse réellement les showrunners et que du coup l'intrigue plus orientée espionnage se révèle assez bidon sur la longueur.
Dans Star Trek l'autre univers ne serait pas aussi différent si il avait simplement été créé par le passage de Lorca, ici on est vraiment plus proche de Fringe pour les rencontres