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Du flashback pas franchement bienvenu vu que le récit est loin d'être limpide à la base, une double dose de Kinnaman puisque Kovacs finit par se cloner lui aussi. L'ensemble des personnages n'en finissent pas de changer d'enveloppe, de se dématérialiser en version ghost, de s'ajouter des prothèses au moindre prétexte, essentiellement par facilité... et l'histoire n'est pas plus intéressante, c'est juste plus brouillé.
On va finir avec un duel familial puisque celle qui était censée être la meilleure amie de Kovacs se révèle être sa pire ennemie. Mais bon, on aura compris surtout que le principal danger pour ceux qui ont encore une once d'humanité, c'est le progrès technologique qui fait perdre son âme. Donc il n'est plus question de soulèvement contre la dénaturalisation de l'être humain, non, là on stagne dans des histoires de proxénétisme foireux, dont en fait Kovacs se tamponne dans l'absolu et le montre par la mine inexpressive de Kinnaman.
Avec de tels moyens c'est dommage de ne pas raconter des choses plus palpitantes. La station Head in the clouds est vachement bien foutue, il y a de nombreuses scènes citadines qui n'auraient pas fait tâche dans Blade Runner. Mais peu importe, je n'en ai toujours rien à secouer de ce que les protagonistes accomplissent. Ceci en étant fan de base de littérature cyberpunk.
On va finir avec un duel familial puisque celle qui était censée être la meilleure amie de Kovacs se révèle être sa pire ennemie. Mais bon, on aura compris surtout que le principal danger pour ceux qui ont encore une once d'humanité, c'est le progrès technologique qui fait perdre son âme. Donc il n'est plus question de soulèvement contre la dénaturalisation de l'être humain, non, là on stagne dans des histoires de proxénétisme foireux, dont en fait Kovacs se tamponne dans l'absolu et le montre par la mine inexpressive de Kinnaman.
Avec de tels moyens c'est dommage de ne pas raconter des choses plus palpitantes. La station Head in the clouds est vachement bien foutue, il y a de nombreuses scènes citadines qui n'auraient pas fait tâche dans Blade Runner. Mais peu importe, je n'en ai toujours rien à secouer de ce que les protagonistes accomplissent. Ceci en étant fan de base de littérature cyberpunk.