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Note moyenne de cet épisode: 12.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 8
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russel 
12.0
12.0
Pour la reprise de Fear aMC continue de brader ses épisodes par paquets de douze. Ils sont visiblement pressés d'en finir. On se focalise sur la réunion des indiens et des colons façon Koh Lanta. Ce n'est pas évident, il y a du contentieux et donc du coup des gusses qui restent inévitablement sur le carreau. Sans être inintéressant l'ensemble de l'action est toujours plombé par des introspections très envahissantes. Je m'en tape des états d'âme de la famille Clark. C'est le souci majeur de la série. depuis le début ces protagonistes ne génèrent aucune empathie, non seulement ils manquent singulièrement de charisme mais en plus leur construction est bancale. Le choix de virer Troy reste en tout cas une bonne option pour calmer les esprits et éviter qu'on ne tourne trop en rond. Je présume malgré tout qu'il aurait mieux convenu le flinguer comme son daron pour avoir la paix.
Plus captivantes les quelques maigres escapades du côté Salazar. Essentiellement parce que le personnage est plus intéressant. Au delà de ça on est dans le même schémas, il s'agit de maintenir l'équilibre de la paix civile avec la bonne gestion des ressources. Le manque d'eau semblant s'installer comme le sujet central. C'est assez absent de The Walking Dead, mais Rick et ses copains ne sont pas dans une région désertique non plus. On a droit aussi à pas mal de cas de conscience, même du côté Salazar. J'aimerais que ça pleurniche un peu moins et que ça agisse un peu plus. Est-on réellement obligé d'arrêter le cours des choses et de filmer des personnages en train de gamberger et de raconter des trucs assez plats pour saisir se qui se passe dans leur tête? Toujours l'éternelle question avec Fear, en tout cas trop de scènes terriblement statiques.
Plus captivantes les quelques maigres escapades du côté Salazar. Essentiellement parce que le personnage est plus intéressant. Au delà de ça on est dans le même schémas, il s'agit de maintenir l'équilibre de la paix civile avec la bonne gestion des ressources. Le manque d'eau semblant s'installer comme le sujet central. C'est assez absent de The Walking Dead, mais Rick et ses copains ne sont pas dans une région désertique non plus. On a droit aussi à pas mal de cas de conscience, même du côté Salazar. J'aimerais que ça pleurniche un peu moins et que ça agisse un peu plus. Est-on réellement obligé d'arrêter le cours des choses et de filmer des personnages en train de gamberger et de raconter des trucs assez plats pour saisir se qui se passe dans leur tête? Toujours l'éternelle question avec Fear, en tout cas trop de scènes terriblement statiques.
