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Note moyenne de cet épisode: 15.3 / 20 (6)
Classement cette saison : 6
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vanlen 
17.0
17.0
...
Sans soucis le meilleur épisode jusqu'à présent. L'intensité est maximum et on se prend au jeu à suivre ce prêtre prêt à tout pour sauver son église : faire des révélations à sa soeur, jouer de l'argent et sûrement tué.
On note tous que la musique est parfaite et nous transporte encore plus.
Vu que la série est assez sombre, j'ai vraiment eu peur qu'il perde son argent, au final il arrive trop tard et en plus, c'est nos amis de la secte qui en deviennent propriétaire.
Après j'avoue qu'on avance pas sur l'histoire, mais c'était tellement bon, qu'on en fait l'impasse.
Ah, mention spéciale à la scène avec sa femme, très émouvant.
Sans soucis le meilleur épisode jusqu'à présent. L'intensité est maximum et on se prend au jeu à suivre ce prêtre prêt à tout pour sauver son église : faire des révélations à sa soeur, jouer de l'argent et sûrement tué.
On note tous que la musique est parfaite et nous transporte encore plus.
Vu que la série est assez sombre, j'ai vraiment eu peur qu'il perde son argent, au final il arrive trop tard et en plus, c'est nos amis de la secte qui en deviennent propriétaire.
Après j'avoue qu'on avance pas sur l'histoire, mais c'était tellement bon, qu'on en fait l'impasse.
Ah, mention spéciale à la scène avec sa femme, très émouvant.
russel
18.0
18.0
Gonflé de nous servir après la continuité installée sur les deux premiers épisodes très orientés récit choral à la narration éclatée ce qui s'apparente pratiquement à un stand alone totalement centré sur un nouveau personnage. En général le fait de briser la cohérence du format feuilleton a tendance à me contrarier, là au contraire, le changement de braquet permet de proposer un récit plus consistant et plus audacieux. J'ai du coup été encore plus captivé.
Ca tient en grande partie au fait que le personnage du pasteur Jamison est excellent. On a souvent un bigot incarnant la foi dans ce genre d'histoires fantastiques américaines touchant une communauté. Chez Stephen King ça débouche fréquemment sur un zinzin un peu caricatural qui sème la zizanie. Dans The Leftovers on est plus proche de l'illuminé ambivalent dans ses extrêmes façon Paul Thomas Anderson. Il est évident que le mec par l'acharnement de son combat pour sauver ses ouailles va apporter une touche passionnelle pour bousculer un environnement ou chacun est un peu anesthésié, déprimé ou silencieux. J'espère ardemment qu'il va devenir récurrent, ce serait un vrai apport pour le show.
Sa course au pognon était en tout cas burlesque et haletante (même si certains rebondissements étaient prévisibles). Le départ est assez déstabilisant mais les ellipses plutôt malignes parviennent à bien boucher les trous du parcours du pasteur. Il y a un style qui s'affine, une vraie ambition qui est revendiquée, cette série devient enfin véritablement singulière et je commence à être sérieusement envoûté par The Leftovers...
Ca tient en grande partie au fait que le personnage du pasteur Jamison est excellent. On a souvent un bigot incarnant la foi dans ce genre d'histoires fantastiques américaines touchant une communauté. Chez Stephen King ça débouche fréquemment sur un zinzin un peu caricatural qui sème la zizanie. Dans The Leftovers on est plus proche de l'illuminé ambivalent dans ses extrêmes façon Paul Thomas Anderson. Il est évident que le mec par l'acharnement de son combat pour sauver ses ouailles va apporter une touche passionnelle pour bousculer un environnement ou chacun est un peu anesthésié, déprimé ou silencieux. J'espère ardemment qu'il va devenir récurrent, ce serait un vrai apport pour le show.
Sa course au pognon était en tout cas burlesque et haletante (même si certains rebondissements étaient prévisibles). Le départ est assez déstabilisant mais les ellipses plutôt malignes parviennent à bien boucher les trous du parcours du pasteur. Il y a un style qui s'affine, une vraie ambition qui est revendiquée, cette série devient enfin véritablement singulière et je commence à être sérieusement envoûté par The Leftovers...
travis
18.0
18.0
Comme Nakoz, j'ai eu peur en comprenant sur qui allait porter cet épisode.
Au final, je me suis encore fait happer par les péripéties de ce pauvre bougre.
Les révélations et les scènes fortes s'enchaînent de plus en plus vite pour culminer vers ce final qui ne pouvait être autrement mais j'ai eu mal malgré tout pour ce personnage qui me laissait indifférent 40 minutes plus tôt.
La musique est une fois de plus parfaite. Si ça persiste sur toute la saison, ce serait juste exceptionnel.
Comme les deux précédents, et peut-être même plus, cet épisode est un ascenseur émotionnel qui va crescendo. J'en redemande... Je veux plus de pigeons, je veux plus de rouge, je veux plus de cailloux et je veux plus de Janel Moloney.
Au final, je me suis encore fait happer par les péripéties de ce pauvre bougre.
Les révélations et les scènes fortes s'enchaînent de plus en plus vite pour culminer vers ce final qui ne pouvait être autrement mais j'ai eu mal malgré tout pour ce personnage qui me laissait indifférent 40 minutes plus tôt.
La musique est une fois de plus parfaite. Si ça persiste sur toute la saison, ce serait juste exceptionnel.
Comme les deux précédents, et peut-être même plus, cet épisode est un ascenseur émotionnel qui va crescendo. J'en redemande... Je veux plus de pigeons, je veux plus de rouge, je veux plus de cailloux et je veux plus de Janel Moloney.
nickmatt
11.0
11.0
eh bien effectivement je fais parti des gens qui ont adoré penny dreadful malgré la lenteur ; ce que j'ai aimé dans les 2 premiers épisodes c'est la réalisation, musique, les acteurs ... malgré tout cela, là , pour cet épisode j'avoue que je me suis grà ve ennuyé. peut être parce que l'épisode était centré seulement sur le prêtre et que du coup la lenteur se ressent encore plus ...
je m'interroge toujours sur où on va et ce qu'il faut essayer de comprendre ... là j'ai pas trouvé que l'histoire du prêtre nous ait fait avancer sur grand chose. mon interêt avait grimpé au 2e épisode, le soufflé redescend ici. à voir au prochain ...
je m'interroge toujours sur où on va et ce qu'il faut essayer de comprendre ... là j'ai pas trouvé que l'histoire du prêtre nous ait fait avancer sur grand chose. mon interêt avait grimpé au 2e épisode, le soufflé redescend ici. à voir au prochain ...
theloutre
11.0
11.0
Au dessus de la moyenne pour la performance d'Eccleston.
Pourtant je m'étais juré de ne pas revenir sur cette série. Les mêmes qui avaient trouvé Penny Dreadfull lente et ennuyeuse,voient ici une série géniâââle.Enfin bref...
Ce 3éme épisode est clair dans son récit. On a envie de voir ce pauvre bougre réussir à sauver son église, héritage familial. Dans sa quête, il est prêt à tout. Il commet tout.
C'est là que le bas blesse. Emporté à ses côtés, on en oublierais presque les thèmes centraux de cette série : les disparus ? pourquoi ? comment ?
Ce qui veut dire que l'on va se fader des histoires individuelles avec un mystère en fil rouge.
Le thème central est relégué au second plan.
Si il est vrai qu'a l'instar d'autres séries du même genre ( j'ose une comparaison avec Under The Dome) là on est dans du haut de gamme HBO. Acteurs, réal., musique etc...
Mais ayant,comme beaucoup, eu le sentiment de m'être fait baladé par Lost (référence du genre) et que cette série compte parmi ses créateurs , justement , un des responsables de cette dernière, j'ai peur de rester une fois de plus sur ma faim.
Pourtant je m'étais juré de ne pas revenir sur cette série. Les mêmes qui avaient trouvé Penny Dreadfull lente et ennuyeuse,voient ici une série géniâââle.Enfin bref...
Ce 3éme épisode est clair dans son récit. On a envie de voir ce pauvre bougre réussir à sauver son église, héritage familial. Dans sa quête, il est prêt à tout. Il commet tout.
C'est là que le bas blesse. Emporté à ses côtés, on en oublierais presque les thèmes centraux de cette série : les disparus ? pourquoi ? comment ?
Ce qui veut dire que l'on va se fader des histoires individuelles avec un mystère en fil rouge.
Le thème central est relégué au second plan.
Si il est vrai qu'a l'instar d'autres séries du même genre ( j'ose une comparaison avec Under The Dome) là on est dans du haut de gamme HBO. Acteurs, réal., musique etc...
Mais ayant,comme beaucoup, eu le sentiment de m'être fait baladé par Lost (référence du genre) et que cette série compte parmi ses créateurs , justement , un des responsables de cette dernière, j'ai peur de rester une fois de plus sur ma faim.
nakoz
17.0
17.0
Ma crainte première avec cette série était que ça ne parte vite dans le religieux. Autant dire que j'étais perplexe quand j'ai vu que l'épisode 3 était un centric sur un prêtre...
Incroyable comme mes craintes étaient infondées. Eccleston est énorme dans son rôle, et même si c'était sur qu'il ne jouerait pas un perso de second plan, la on prend se prend très vite d'affection pour un perso qu'on ne connaissait presque que de vue avant cet épisode.
En bref, une symbolique très lourde, deux-trois trucs très convenus et des séquences fortes en émotions (la découverte de la femme m'a touché, en particulier grâce à la musique encore une fois irréprochable)
Bref, si ils arrivent à me faire aimer un épisode centré sur un religieux pendant une heure, ça me donne envie de voir la suite !
Incroyable comme mes craintes étaient infondées. Eccleston est énorme dans son rôle, et même si c'était sur qu'il ne jouerait pas un perso de second plan, la on prend se prend très vite d'affection pour un perso qu'on ne connaissait presque que de vue avant cet épisode.
En bref, une symbolique très lourde, deux-trois trucs très convenus et des séquences fortes en émotions (la découverte de la femme m'a touché, en particulier grâce à la musique encore une fois irréprochable)
Bref, si ils arrivent à me faire aimer un épisode centré sur un religieux pendant une heure, ça me donne envie de voir la suite !
