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Note moyenne de cet épisode: 16.0 / 20 (2)
Classement cette saison : 2
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russel 
16.0
16.0
Ca reste assez choral, même si à chaque fois on creuse un peu plus un personnage précis. Ce coup-ci avec les tordus de la famille Jacobs on passe un peu plus du côté Bret Easton Ellis, de Less Than Zero à American Psycho auquel le fiston Nate fait penser dans son côté clinique et ordonné dans sa perversion narcissique. Après ça fait un peu sortir du côté quotidien et on part dans quelque chose de plus thriller et donc plus fictionnel et donc moins du domaine simple témoignage.
En écartant les purs prédateurs sexuels, j'ai du mal à vraiment m'attacher aux ados qui accumulent quand même pas mal de conneries. J'ai essentiellement envie de leur distribuer des coups de pied au cul. On essaye quand même de justifier un peu les "écarts" de certains. On comprend que la toxicomanie de Rue est principalement liée à la perte de son père. Oui mais pas seulement dans la mesure où un certain nombre de mômes touchent plus ou moins à la dope sans se poser de questions. Je pense qu'il va falloir creuser encore pour nuancer un peu. On voit par exemple que le dealer de Rue est un abruti fini par la came, mais il est évident qu'il a un bon fond au delà de son absence de volonté...
Il y a un bon rythme sur l'ensemble, ça se consomme sans regarder sa montre. Et puis il se confirme que c'est bien interprété et bien dirigé.
En écartant les purs prédateurs sexuels, j'ai du mal à vraiment m'attacher aux ados qui accumulent quand même pas mal de conneries. J'ai essentiellement envie de leur distribuer des coups de pied au cul. On essaye quand même de justifier un peu les "écarts" de certains. On comprend que la toxicomanie de Rue est principalement liée à la perte de son père. Oui mais pas seulement dans la mesure où un certain nombre de mômes touchent plus ou moins à la dope sans se poser de questions. Je pense qu'il va falloir creuser encore pour nuancer un peu. On voit par exemple que le dealer de Rue est un abruti fini par la came, mais il est évident qu'il a un bon fond au delà de son absence de volonté...
Il y a un bon rythme sur l'ensemble, ça se consomme sans regarder sa montre. Et puis il se confirme que c'est bien interprété et bien dirigé.
russel
16.0
16.0
Ca reste assez choral, même si à chaque fois on creuse un peu plus un personnage précis. Ce coup-ci avec les tordus de la famille Jacobs on passe un peu plus du côté Bret Easton Ellis, de Less Than Zero à American Psycho auquel le fiston Nate fait penser dans son côté clinique et ordonné dans sa perversion narcissique. Après ça fait un peu sortir du côté quotidien et on part dans quelque chose de plus thriller et donc plus fictionnel et donc moins du domaine simple témoignage.
En écartant les purs prédateurs sexuels, j'ai du mal à vraiment m'attacher aux ados qui accumulent quand même pas mal de conneries. J'ai essentiellement envie de leur distribuer des coups de pied au cul. On essaye quand même de justifier un peu les "écarts" de certains. On comprend que la toxicomanie de Rue est principalement liée à la perte de son père. Oui mais pas seulement dans la mesure où un certain nombre de mômes touchent plus ou moins à la dope sans se poser de questions. Je pense qu'il va falloir creuser encore pour nuancer un peu. On voit par exemple que le dealer de Rue est un abruti fini par la came, mais il est évident qu'il a un bon fond au delà de son absence de volonté...
Il y a un bon rythme sur l'ensemble, ça se consomme sans regarder sa montre. Et puis il se confirme que c'est bien interprété et bien dirigé.
En écartant les purs prédateurs sexuels, j'ai du mal à vraiment m'attacher aux ados qui accumulent quand même pas mal de conneries. J'ai essentiellement envie de leur distribuer des coups de pied au cul. On essaye quand même de justifier un peu les "écarts" de certains. On comprend que la toxicomanie de Rue est principalement liée à la perte de son père. Oui mais pas seulement dans la mesure où un certain nombre de mômes touchent plus ou moins à la dope sans se poser de questions. Je pense qu'il va falloir creuser encore pour nuancer un peu. On voit par exemple que le dealer de Rue est un abruti fini par la came, mais il est évident qu'il a un bon fond au delà de son absence de volonté...
Il y a un bon rythme sur l'ensemble, ça se consomme sans regarder sa montre. Et puis il se confirme que c'est bien interprété et bien dirigé.
Mais non, tu as dû te tromper d'épisode pour la notation et ici y a un petit doublon