Fiche épisode Fargo 4x04:
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russel 12/10/20 5:43 1

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Note moyenne de cet épisode: 17.0 / 20 (1)

Classement cette saison : 3

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russel

17.0

C'est très actions conséquences. Spécialement pour la famille Smutney supposée incarner la droiture (à l'exception de la frangine Roulette) mais qui en franchissant la ligne s'expose à des représailles, que ce soit Ethelrida trop fouineuse chez l'infirmière (la tarte empoisonnée risquant aussi de coûter des représailles à Oraetta) ou Thurman qui n'aura pas pu enfumer Cannon bien longtemps.. Tout est bien maillé entre les protagonistes, il n'y a plus qu'à allumer les mèches pour lancer le massacre, c'est ce qui est admirable. On conserve le côté burlesque dans pas mal d'interactions entre les belligérants. Mon coup de chapeau pour celle entre Deafy et le gros Gaetanon, Timothy Olyphant est vraiment extra.

Les histoires de gangs mafieux sont quand même terriblement codées désormais. Mais là ça parvient à sublimer le genre et les classiques, non sans faire de petites révérences. J'ai pensé notamment à Once Upon a time in America de Sergio Leone avec la sonnerie de téléphone qui s'éternise d'une scène à l'autre...

C'est trÃ¨s actions consÃ©quences. SpÃ©cialement pour la famille Smutney supposÃ©e incarner la droiture (Ã  l'exception de la frangine Roulette) mais qui en franchissant la ligne s'expose Ã  des reprÃ©sailles, que ce soit Ethelrida trop fouineuse chez l'infirmiÃ¨re (la tarte empoisonnÃ©e risquant aussi de coÃ»ter des reprÃ©sailles Ã  Oraetta) ou Thurman qui n'aura pas pu enfumer Cannon bien longtemps.. Tout est bien maillÃ© entre les protagonistes, il n'y a plus qu'Ã  allumer les mÃ¨ches pour lancer le massacre, c'est ce qui est admirable. On conserve le cÃ´tÃ© burlesque dans pas mal d'interactions entre les belligÃ©rants. Mon coup de chapeau pour celle entre Deafy et le gros Gaetanon, Timothy Olyphant est vraiment extra.

Les histoires de gangs mafieux sont quand mÃªme terriblement codÃ©es dÃ©sormais. Mais lÃ  Ã§a parvient Ã  sublimer le genre et les classiques, non sans faire de petites rÃ©vÃ©rences. J'ai pensÃ© notamment Ã  Once Upon a time in America de Sergio Leone avec la sonnerie de tÃ©lÃ©phone qui s'Ã©ternise d'une scÃ¨ne Ã  l'autre...