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Note moyenne de cet épisode: 15.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 1
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russel 
15.0
15.0
D'un côté il est évident que la solution aux problèmes de Tony réside dans la sociabilisation avec les gens qui l'entourent, aussi ordinaires et parfois désespérants soient-ils. Mais en fait il n'est pas clair que le gars soit tant plombé par son deuil que par ses habitudes comportementales assez caractéristiques du bobo citadin moderne. Individualiste, matérialiste, nombriliste et finalement passablement immature. On le voit dans les séquences répétées de sa relation passée avec Lisa qui le maternait et avec laquelle il se comportait comme un sale môme facétieux.
J'ai bien aimé les différentes séquences de rencontres qui renvoyaient Tony irrémédiablement à lui même. Y compris le speed dating avec un profil qui ne pouvait pas lui convenir. Tony aurait du être touché par les intentions de chacun, la travailleuse du sexe dévouée, la stagiaire. Il y a une vraie bienveillance chez toutes ces personnes. Lui sera juste capable de pousser le livreur de journaux junky à se faire une overdose. Tony va devoir réellement apprendre à être un peu plus qu'un simple sale con. Et il en a probablement la capacité, on sent qu'il a un bon fond, il a au moins la capacité de culpabiliser en certaines occasions.
J'ai bien aimé les différentes séquences de rencontres qui renvoyaient Tony irrémédiablement à lui même. Y compris le speed dating avec un profil qui ne pouvait pas lui convenir. Tony aurait du être touché par les intentions de chacun, la travailleuse du sexe dévouée, la stagiaire. Il y a une vraie bienveillance chez toutes ces personnes. Lui sera juste capable de pousser le livreur de journaux junky à se faire une overdose. Tony va devoir réellement apprendre à être un peu plus qu'un simple sale con. Et il en a probablement la capacité, on sent qu'il a un bon fond, il a au moins la capacité de culpabiliser en certaines occasions.
Je m'étais planté de saison en postant ma critique. Le vrai e04s02 est un peu plus miteux avec un Tony qui se fait un peu manger la soupe sur la tête par son facteur, console même la commerciale de la gazette pour mieux aller pleurnicher vers sa confidente au cimetière (un litron de rouge à capsule à la main). Pour finir il sauve l'avenir de son canard dans la facilité, parce que le businessman propriétaire du titre est super tendre.
Au visionnage ce n'est pas désagréable non plus, ça manque juste de prétention.