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Note moyenne de cet épisode: 9.0 / 20 (1)
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jorgio 
9.0
9.0
Un océan en manque de finition
Le film se divise en deux parties.
La première est digne d'une petite production fauchée qu'on regarderait le dimanche après-midi à la télévision par temps pluvieux.
Un twist à mi-chemin redistribuant les cartes fera lorgner le film vers des productions de grands cinéastes, d'un point de vue totalement subjectif, de Cronenberg à Nolan en passant par les Wachowski, sans atteindre leurs puissances émotionnelles. La faute à un script resté à l'état d'embryon.
A la suite de ce fameux twist, je me suis senti transiter de bâillements polis à l'étape supérieure de la suspension consentie d'incrédulité que je nommerai être un entubage courtois.
Traduction:
- Quelques bonnes idées, amenées avec la grâce d'un Kaiju dans un magasin de porcelaines,
- Une scène de performance sexuelle atteignant un niveau des plus dégradants connus du genre humain et apportant un message plus que douteux quand on connait le fin mot de l'histoire... Mais c'est un régal pour les yeux des Madames et des Messieurs donc je pardonne bien entendu.
- Des raccourcis scénaristiques. Les 30 dernières secondes, à ce propos, sont catastrophiques et annihilent, à elles seules, les fondations vermoulues de cette seconde partie de film).
Et c'est extrêmement dommage.
Matthew McConaughey, totalement habité par son rôle, Anne Hathaway, Diane Lane, Jason Clarke et Djimon Hounsou. Un casting 5 étoiles qui ferait jurer le dernier des circonspects que nous allons regarder un putain de film... Nope !
Malgré tout, certaines scènes tirent très bien profit de ce "WTF généralisé", à travers les yeux médusés de McConaughey éructant des propos qui ont ni-queue ni-tête digne d'un after happy hour.
Était-ce la volonté du réalisateur ? Je cherche le positif où je peux les gars...
Pour résumer, un film qui exploite mal ce qui a déjà été fait en mieux.
Reste l'excellent casting qui avait probablement besoin d'un chèque pour s'acheter un nouveau bateau.
"Je vous parlerais volontiers mais vous n'êtes pas là !"
Le film se divise en deux parties.
La première est digne d'une petite production fauchée qu'on regarderait le dimanche après-midi à la télévision par temps pluvieux.
Un twist à mi-chemin redistribuant les cartes fera lorgner le film vers des productions de grands cinéastes, d'un point de vue totalement subjectif, de Cronenberg à Nolan en passant par les Wachowski, sans atteindre leurs puissances émotionnelles. La faute à un script resté à l'état d'embryon.
A la suite de ce fameux twist, je me suis senti transiter de bâillements polis à l'étape supérieure de la suspension consentie d'incrédulité que je nommerai être un entubage courtois.
Traduction:
- Quelques bonnes idées, amenées avec la grâce d'un Kaiju dans un magasin de porcelaines,
- Une scène de performance sexuelle atteignant un niveau des plus dégradants connus du genre humain et apportant un message plus que douteux quand on connait le fin mot de l'histoire... Mais c'est un régal pour les yeux des Madames et des Messieurs donc je pardonne bien entendu.
- Des raccourcis scénaristiques. Les 30 dernières secondes, à ce propos, sont catastrophiques et annihilent, à elles seules, les fondations vermoulues de cette seconde partie de film).
Et c'est extrêmement dommage.
Matthew McConaughey, totalement habité par son rôle, Anne Hathaway, Diane Lane, Jason Clarke et Djimon Hounsou. Un casting 5 étoiles qui ferait jurer le dernier des circonspects que nous allons regarder un putain de film... Nope !
Malgré tout, certaines scènes tirent très bien profit de ce "WTF généralisé", à travers les yeux médusés de McConaughey éructant des propos qui ont ni-queue ni-tête digne d'un after happy hour.
Était-ce la volonté du réalisateur ? Je cherche le positif où je peux les gars...
Pour résumer, un film qui exploite mal ce qui a déjà été fait en mieux.
Reste l'excellent casting qui avait probablement besoin d'un chèque pour s'acheter un nouveau bateau.
"Je vous parlerais volontiers mais vous n'êtes pas là !"
Donc j'ai lu ta critique Jorgio et elle reflète assez ce que j'ai vu dans la BA...
Donc sans moi ça c'est certain !