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Note moyenne de cet épisode: 16.7 / 20 (3)
Classement cette saison : 3
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vanessaf 
17.0
17.0
Une fois de plus, j'ai été surprise par l'histoire... même si l'idée n'est pas révolutionnaire.
La façon de la raconter est touchante, on sent dès le début que Jakob envie Danny et pourtant au final il va le regretter...
Quant à Danny, on a envie de dire que c'est un bon gros connard ! Mais la tristesse, la mélancolie qui s'échappent de l'atmosphère de cet épisode, nous font avoir pitié de lui.
C'est un peu tard qu'il se rend compte que ses parents tiennent énormément à lui et que Jakob n'a pas forcément une "meilleure" vie, puisqu'aucun des deux n'est heureux...
Et la fin est si triste...
Et comme vous le dites, on se dit que cet épisode est forcément antérieur au précédent et que c'est donc Jakob ce robot sur lequel Cole lance des cailloux. J'avoue ne pas avoir anticipé ça !
C'est triste aussi de se dire que d'ailleurs ni Cole, ni leurs parents ne se posent de questions sur les changements de "hobby" de Jakob... Et qu'effectivement Cole a raison lorsqu'il dit que Loretta n'aime pas être une mère...
La façon de la raconter est touchante, on sent dès le début que Jakob envie Danny et pourtant au final il va le regretter...
Quant à Danny, on a envie de dire que c'est un bon gros connard ! Mais la tristesse, la mélancolie qui s'échappent de l'atmosphère de cet épisode, nous font avoir pitié de lui.
C'est un peu tard qu'il se rend compte que ses parents tiennent énormément à lui et que Jakob n'a pas forcément une "meilleure" vie, puisqu'aucun des deux n'est heureux...
Et la fin est si triste...
Et comme vous le dites, on se dit que cet épisode est forcément antérieur au précédent et que c'est donc Jakob ce robot sur lequel Cole lance des cailloux. J'avoue ne pas avoir anticipé ça !
C'est triste aussi de se dire que d'ailleurs ni Cole, ni leurs parents ne se posent de questions sur les changements de "hobby" de Jakob... Et qu'effectivement Cole a raison lorsqu'il dit que Loretta n'aime pas être une mère...
neimad2
16.0
16.0
J'ai été un peu moins emporté par cet épisode, et vu la structure (une aventure mettant en avant des personnages différents à chaque épisode) ça dépendra donc des sujets à chaque fois. J'aime toujours autant cet univers, je crois que j'ai juste été plus touché par les gamins du premier, alors qu'en général je n'aime pas trop les enfants dans les fictions.
J'ai aussi la sensation que cet épisode se déroule avant le pilot, et donne une autre dimension au robot, notamment quand on voit son petit frère lui lancer des cailloux. Une très belle série pour l'instant en tous les cas.
J'ai aussi la sensation que cet épisode se déroule avant le pilot, et donne une autre dimension au robot, notamment quand on voit son petit frère lui lancer des cailloux. Une très belle série pour l'instant en tous les cas.
russel
17.0
17.0
Encore plus accompli que le pilote ce second épisode dans la mesure où l'anomalie exposée articulait mieux le récit. Au delà de cela on est donc dans une sorte d'anthologie à la Twilight Zone, mais dans un univers cohérent et récurrent puisqu'on retrouve le même endroit, les mêmes protagonistes, etc... Il y a juste la temporalité qui m'a préoccupé à plusieurs reprises. Les événements de ce transfert me sont progressivement apparus antérieurs à l'introduction. En effet dans le pilote j'avais remarqué que Jakob semblait un peu éteint, subissant probablement déjà les affres de sa fausse identité, laissant envisager rétrospectivement que l'aventure allait mal tourner. Mais le twist du robot bipède qu'on avait vu errer précédemment comme une âme en peine, là c'est la cerise sur le gâteau.
C'est du coup assez intéressant dans l'élaboration de la structure de la série et l'environnement est toujours aussi étrange et hypnotique avec ces éléments futuristes presque saugrenus qui brouillent les paysages et les consciences. Ca m'évoque pas mal d'oeuvres scandinaves du jeu vidéo, dont le Control des finlandais de Remedy pour les aberrations ou Generation Zero des suédois d'Avalanche Studio pour la SF champêtre. Il y a une belle maturité dans le développement de la dimension dramatique, tout semble inéluctable, mais rien n'est asséné avec violence, tout se fait dans la délicatesse. C'est très mélancolique comme tonalité...
C'est du coup assez intéressant dans l'élaboration de la structure de la série et l'environnement est toujours aussi étrange et hypnotique avec ces éléments futuristes presque saugrenus qui brouillent les paysages et les consciences. Ca m'évoque pas mal d'oeuvres scandinaves du jeu vidéo, dont le Control des finlandais de Remedy pour les aberrations ou Generation Zero des suédois d'Avalanche Studio pour la SF champêtre. Il y a une belle maturité dans le développement de la dimension dramatique, tout semble inéluctable, mais rien n'est asséné avec violence, tout se fait dans la délicatesse. C'est très mélancolique comme tonalité...
