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Note moyenne de cet épisode: 14.0 / 20 (1)
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jorgio 
14.0
14.0
Un film français de Hervé Mimran.
De Hervé Mimran.
Un joli film, bien que décevant dans sa structure, porté par une distribution solide et attachante et une tête d'affiche qui reste encore et toujours géniale.
Ce film peut rappeler "Regarding Henry" de Mike Nichols en 1991 (un des premiers scénario de JJ Abrams et un Harrison Ford hypnotisant en tête d'affiche).
Un homme, ou plutôt un véritable salaud, qui se retrouve diminué suite à un accident, apprend à se reconstruire, à changer, à s'améliorer et à retrouver une valeur sentimentale auprès des proches qu'il a délaissé.
Fabrice Luchini est aussi bien à l'aise dans le rôle de l'homme hyperactif, qui ne dit jamais merci, qui tyrannise ses employés avec le sourire que dans le rôle de cet homme perdu, aux yeux de labrador, dont le phrasé est devenu incompréhensible.
Égal à lui même en somme. Ceux qui l'apprécient continueront de l'apprécier. Ceux qui ne peuvent pas le supporter... n'iront pas voir le film.
Leïla Bekhti, Igor Gotesman et Rebecca Marder joue parfaitement le rôle du trio tournant autour de ce bonhomme malgré leur rôle réduit à leur plus basique fonction: "la psychopathe", "la fille délaissé et en colère" et "l'amoureux de la psychopathe".
Un petit faible pour Igor Gotesman qui est très drôle dans ses techniques de dragues hyper foireuses mais qui fonctionnent. Chapeau.
A la différence de "Regarding Henry", le film a tendance trop rester en surface. Reconstruction face la maladie, étude sur une famille en crise, critique du monde du travail (ce film ressemble beaucoup à "Regarding Henry" en fait), beaucoup de thèmes sont partiellement traités.
Pire, le personnage doit vivre certaines épreuves en plus de son AVC, rendant le tout quelque peu incohérent avec le thème de la reconstruction cérébrale pour aboutir à sa nouvelle structure corporelle.
Enfoncer le clou dans son malheur plutôt que de le laisser rejeter une partie de ce qu'il a été en désaccord avec ce qu'il est. Dommage.
Cette critique n'est que broutille, bien entendu.
Le bilan est que le film reste un baume au cœur en ces temps difficiles qui tranche avec la plupart des comédies françaises bien lourdingues (avis personnel).
Pour conclure... tout est dans l'introduction :D.
De Hervé Mimran.
Un joli film, bien que décevant dans sa structure, porté par une distribution solide et attachante et une tête d'affiche qui reste encore et toujours géniale.
Ce film peut rappeler "Regarding Henry" de Mike Nichols en 1991 (un des premiers scénario de JJ Abrams et un Harrison Ford hypnotisant en tête d'affiche).
Un homme, ou plutôt un véritable salaud, qui se retrouve diminué suite à un accident, apprend à se reconstruire, à changer, à s'améliorer et à retrouver une valeur sentimentale auprès des proches qu'il a délaissé.
Fabrice Luchini est aussi bien à l'aise dans le rôle de l'homme hyperactif, qui ne dit jamais merci, qui tyrannise ses employés avec le sourire que dans le rôle de cet homme perdu, aux yeux de labrador, dont le phrasé est devenu incompréhensible.
Égal à lui même en somme. Ceux qui l'apprécient continueront de l'apprécier. Ceux qui ne peuvent pas le supporter... n'iront pas voir le film.
Leïla Bekhti, Igor Gotesman et Rebecca Marder joue parfaitement le rôle du trio tournant autour de ce bonhomme malgré leur rôle réduit à leur plus basique fonction: "la psychopathe", "la fille délaissé et en colère" et "l'amoureux de la psychopathe".
Un petit faible pour Igor Gotesman qui est très drôle dans ses techniques de dragues hyper foireuses mais qui fonctionnent. Chapeau.
A la différence de "Regarding Henry", le film a tendance trop rester en surface. Reconstruction face la maladie, étude sur une famille en crise, critique du monde du travail (ce film ressemble beaucoup à "Regarding Henry" en fait), beaucoup de thèmes sont partiellement traités.
Pire, le personnage doit vivre certaines épreuves en plus de son AVC, rendant le tout quelque peu incohérent avec le thème de la reconstruction cérébrale pour aboutir à sa nouvelle structure corporelle.
Enfoncer le clou dans son malheur plutôt que de le laisser rejeter une partie de ce qu'il a été en désaccord avec ce qu'il est. Dommage.
Cette critique n'est que broutille, bien entendu.
Le bilan est que le film reste un baume au cœur en ces temps difficiles qui tranche avec la plupart des comédies françaises bien lourdingues (avis personnel).
Pour conclure... tout est dans l'introduction :D.
