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Ça se regard d'en famille tranquillement
Il y a une bonne dose de second degré.
Le genre de truc qui me plaît.
Après reste à voir si ça va se construire correctement sur la durée de la saison.
Déçu de voir mickael Emerson quitter l'histoire aussi vite.
J'imagine que c'est un incontournable du jeu.
On sent bien l'univers du jeu vidéo en arrière plan, il ne faudrait pas que ça prenne le pas sur le format série tv
Il y a une bonne dose de second degré.
Le genre de truc qui me plaît.
Après reste à voir si ça va se construire correctement sur la durée de la saison.
Déçu de voir mickael Emerson quitter l'histoire aussi vite.
J'imagine que c'est un incontournable du jeu.
On sent bien l'univers du jeu vidéo en arrière plan, il ne faudrait pas que ça prenne le pas sur le format série tv
Mieux au deuxième épisode en fait. Surtout à partir du moment où tous les segments se rejoignent et que les interactions deviennent un poil plus profondes. Parce que sinon c'est vraiment du gros burlesque et si la licence donne aussi dans ce registre, c'est néanmoins contrebalancé par des choses bien plus sombres. On sent qu'on peut y venir, mais les scènes dramatiques sont encore trop désamorcées. Même le gore est gaguesque.
La courte apparition de Wilzig (plus de Michael Emerson m'aurait convenu en souvenir de Person of Interest) apporte un peu plus de sérieux. Il y a des personnages qui sont un peu moins archétypaux. On ne sait pas par exemple dans quelle mesure The Ghoul est bon ou mauvais. C'est appréciable. Parce que le reste c'est du PNJ. J'aime bien Lucy et Maximus parce qu'ils ont ce côté idiot du joueur débutant avec zéro skill. Même si c'est horripilant, il faut accepter qu'ils soient nazes. Au fil des rencontres, ça va monter en puissance. Bien aimé la confrontation entre Lucy et la tenancière du bazar. Le clash de classe était intéressant et les positions de chacun se défendent.
Pour le reste, il n'y a pas beaucoup d'assets qui manquent pour les inconditionnels. On commence à déballer le bestiaire. Il y a les insectes géants à la con (qui ruinaient souvent le gameplay), le chien increvable même si vulnérable, la célèbre vache à deux têtes. The Ghoul semble utiliser le V.A.T.S. (système de visée du jeu) quand il canarde avec sa pétoire monstrueuse, tant c'est précis dans les morceaux choisis. C'était notamment ce machin qui faisait crasher régulièrement Fallout 3, pas mon meilleur souvenir.
La quête principale semble toute tracée, on n'en ai plus aux simples présentations (un peu ratées)
La courte apparition de Wilzig (plus de Michael Emerson m'aurait convenu en souvenir de Person of Interest) apporte un peu plus de sérieux. Il y a des personnages qui sont un peu moins archétypaux. On ne sait pas par exemple dans quelle mesure The Ghoul est bon ou mauvais. C'est appréciable. Parce que le reste c'est du PNJ. J'aime bien Lucy et Maximus parce qu'ils ont ce côté idiot du joueur débutant avec zéro skill. Même si c'est horripilant, il faut accepter qu'ils soient nazes. Au fil des rencontres, ça va monter en puissance. Bien aimé la confrontation entre Lucy et la tenancière du bazar. Le clash de classe était intéressant et les positions de chacun se défendent.
Pour le reste, il n'y a pas beaucoup d'assets qui manquent pour les inconditionnels. On commence à déballer le bestiaire. Il y a les insectes géants à la con (qui ruinaient souvent le gameplay), le chien increvable même si vulnérable, la célèbre vache à deux têtes. The Ghoul semble utiliser le V.A.T.S. (système de visée du jeu) quand il canarde avec sa pétoire monstrueuse, tant c'est précis dans les morceaux choisis. C'était notamment ce machin qui faisait crasher régulièrement Fallout 3, pas mon meilleur souvenir.
La quête principale semble toute tracée, on n'en ai plus aux simples présentations (un peu ratées)