Attiré (marketing quand tu nous tiens) par la pub faite sur les réseaux sociaux et le nom des frères Russo j'ai regardé le premier épisode de Citadel avec quand même un soupçon de méfiance vaguement complotiste. C'est un peu pour moi l'anti 1923...
Citadel est bien la preuve que le cinéma qu'il soit destiné au grand ou au petit écran repose sur cette petite magie qui arrive parfois quand l'amalgame entre le scénario, la réalisation et les acteurs s'opère dans une recette mystérieuse qui fonctionne ou non sur le spectateur.
Ici c'est du Ed Wood. A la différence que Ed Wood disposait d'un budget de 5000 dollars pour filmer un peu n'importe quoi. Ses films sont très cons et les 90% de dialogues abscons étaient parfois agrémentés d'une assiette suspendue à un fil et d'un zombie surgit par ci par là ... Ici dans Citadel c'est la même chose sauf que dans ce cas la prod a donné à Ed Wood plusieurs centaines de millions de dollars à claquer... On écrit n'importe quoi qui n'a aucune importance,on s'en tape en plus de ce goulbi goulba, on assemble ses scènes où des acteurs débitent des dialogues à la limite du comique avec un très grand sérieux...on s'inspire d'un peu de tout et de rien avec bien sûr les James Bond, Jason Bourne, Mr et Miss Smith, voire la série nulle True lies, on agite le tout dans des décors numériques, une image numérique, de la musique bruyante, une intrigue qui donnerait le prix Nobel de littérature à Ian Fleming en comparaison....on secoue le tout dans un shaker et on prie très fort pour que le cocktail fonctionne.... raté.
5 parce que le fric n'achète pas tout
Citadel est bien la preuve que le cinéma qu'il soit destiné au grand ou au petit écran repose sur cette petite magie qui arrive parfois quand l'amalgame entre le scénario, la réalisation et les acteurs s'opère dans une recette mystérieuse qui fonctionne ou non sur le spectateur.
Ici c'est du Ed Wood. A la différence que Ed Wood disposait d'un budget de 5000 dollars pour filmer un peu n'importe quoi. Ses films sont très cons et les 90% de dialogues abscons étaient parfois agrémentés d'une assiette suspendue à un fil et d'un zombie surgit par ci par là ... Ici dans Citadel c'est la même chose sauf que dans ce cas la prod a donné à Ed Wood plusieurs centaines de millions de dollars à claquer... On écrit n'importe quoi qui n'a aucune importance,on s'en tape en plus de ce goulbi goulba, on assemble ses scènes où des acteurs débitent des dialogues à la limite du comique avec un très grand sérieux...on s'inspire d'un peu de tout et de rien avec bien sûr les James Bond, Jason Bourne, Mr et Miss Smith, voire la série nulle True lies, on agite le tout dans des décors numériques, une image numérique, de la musique bruyante, une intrigue qui donnerait le prix Nobel de littérature à Ian Fleming en comparaison....on secoue le tout dans un shaker et on prie très fort pour que le cocktail fonctionne.... raté.
5 parce que le fric n'achète pas tout