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Note moyenne de cet épisode: 19.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 1
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russel 
19.0
19.0
On bouclera cette saison avec un final qui mousse bien. Il y a eu un peu plus des hauts et des bas pour la seconde année de la série, mais les showrunners ont indéniablement encore pas mal de cookies dans leur panier. Au delà de la simple tension générée par la traque au Bobby et la planque des avoirs, j'ai été séduit par la bonne gestion de la psychologie des personnages qui restent parfaitement en accord avec leurs traits de personnalité depuis le lancement du show. Paul Giamatti et Damian Lewis excellent toujours, leur petit échange en toute fin est très prometteur pour la 3ème livraison. Ils ne s'aimaient pas à la base, désormais causer la perte de l'autre est devenu une raison de vivre. Ni l'un ni l'autre n'est à envier. Chuck s'en sort pas mal, mais quand même cocu et salement désavoué par papa. Il y a une virilité qu'il peine encore à atteindre pour s'affirmer comme le lui fait justement remarquer son meilleur ennemi.
Des petits plaisirs, la confirmation pour Taylor qui a encore beaucoup à montrer. C'est un peu le cas de pas mal de nouveaux protagonistes encore très sous employés, notamment George ou même Oliver. Boyd m'a bien fait marrer en ayant le culot de venir à son domicile dire à Axelrod qu'il l'a trahi. Vraiment un monde de gros enfoirés. On n'a pas envie de pleurer pour eux. Même si il y a toujours cette petite pointe de sympathie qui perdure soit pour Bobby soit pour Chuck. Selon les moments on va dire. Et c'est ça aussi qui est fortiche avec Billions.
Des petits plaisirs, la confirmation pour Taylor qui a encore beaucoup à montrer. C'est un peu le cas de pas mal de nouveaux protagonistes encore très sous employés, notamment George ou même Oliver. Boyd m'a bien fait marrer en ayant le culot de venir à son domicile dire à Axelrod qu'il l'a trahi. Vraiment un monde de gros enfoirés. On n'a pas envie de pleurer pour eux. Même si il y a toujours cette petite pointe de sympathie qui perdure soit pour Bobby soit pour Chuck. Selon les moments on va dire. Et c'est ça aussi qui est fortiche avec Billions.
