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Better Call Saul semble enfin savoir où elle va avec scission entre les McGill mais ce fut vraiment laborieux. J'ai eu beaucoup de mal à accrocher jusque là .
Heureusement la personnalité de Jimmy et le charisme de Mike ont aidé... Le final se doit d'être encore un cran au-dessus.
Heureusement la personnalité de Jimmy et le charisme de Mike ont aidé... Le final se doit d'être encore un cran au-dessus.
Ca va creshendo en cette fin de saison avec un des meilleurs épisodes de la saison à mes yeux. Et du grand Mike, et une bonne scène et ... que du bonheur. En espérant que ça cliffera pas trop sur le dernier, mais bon c'est pas le genre d'habitude.
Encore du très beau travail de la part de Gilligan.
L'épisode de la semaine dernière m'avait laissé frustré ( trop court), tout comme celui-ci.
Rien que pour la scène du parking avec Mike et ses 2 acolytes. D'ailleurs n'est pas le même parking d'où Walter White observe Gus Fring dans Breaking Bad ?
Quant au twist final , je n'ai rien vu venir.
Du très bon travail.
L'épisode de la semaine dernière m'avait laissé frustré ( trop court), tout comme celui-ci.
Rien que pour la scène du parking avec Mike et ses 2 acolytes. D'ailleurs n'est pas le même parking d'où Walter White observe Gus Fring dans Breaking Bad ?
Quant au twist final , je n'ai rien vu venir.
Du très bon travail.
finalement on se rend compte que Jimmy aurait dû accepter le deal proposé par les avocats adverses l'épisode précédent ( 100000 dollars ), mais son frère Chuck l'en a empêché, tout comme dans cet épisode où il empêche Jimmy de travailler comme avocat à HHM,
le dernier épisode la semaine prochaine verra donc peut-être enfin la naissance de Saul Goodman, il prendra les 20000 dollars et va louer un vrai bureau et ensuite tout devrait s'enchaîner, Mike, la rencontre avec les clients gangsters, la pub TV kitch "better call saul", sauf si les scénaristes en décident autrement
le dernier épisode la semaine prochaine verra donc peut-être enfin la naissance de Saul Goodman, il prendra les 20000 dollars et va louer un vrai bureau et ensuite tout devrait s'enchaîner, Mike, la rencontre avec les clients gangsters, la pub TV kitch "better call saul", sauf si les scénaristes en décident autrement
Episode super complet. D'un côté Mike fait le show dans la grande tradition Breaking Bad avec du malfrat improbable dans un cadre sur stylisé. L'intrigue peut paraître anecdotique, mais l'air de rien, Mike est devenu cette semaine le Mike qu'on connaissait alliant famille + vie rangée et boulot d'infréquentable. Il a tout vu, tout connu, aucun effet de surprise pour lui. Le binoclard, c'est un wannabe Heisenberg au premier stade de développement naturellement. C'est marrant ces patterns qu'on retrouve et qui font que les deux séries sont parfaitement cohérentes.
Plus maligne et inattendue l'intrigue centrée sur les frangins McGill et un splendide twist (j'avais tout faux dans mes prévisions la semaine dernière !!) bien couvert par la foutue habitude de Howard de faire fermer les portes et vider les pièces quand il dit un truc important.
C'est dommage parce que je commençais vraiment à m'attacher au personnage de Chuck que je trouvais touchant dans sa vulnérabilité. C'était oublier un peu vite que Gilligan et son gang se plaisent à créer des personnages à plusieurs facettes d'une complexité peu commune dans la série américaine. Et la révélation de Chuck n'est absolument pas improbable, lui le grand frère un peu Asperger sur les bords, qui se rassure en préservant son ascendant sur son cadet et en défendant sa vision maniaque du droit.
Tout cela était encore assez exemplaire...
Plus maligne et inattendue l'intrigue centrée sur les frangins McGill et un splendide twist (j'avais tout faux dans mes prévisions la semaine dernière !!) bien couvert par la foutue habitude de Howard de faire fermer les portes et vider les pièces quand il dit un truc important.
C'est dommage parce que je commençais vraiment à m'attacher au personnage de Chuck que je trouvais touchant dans sa vulnérabilité. C'était oublier un peu vite que Gilligan et son gang se plaisent à créer des personnages à plusieurs facettes d'une complexité peu commune dans la série américaine. Et la révélation de Chuck n'est absolument pas improbable, lui le grand frère un peu Asperger sur les bords, qui se rassure en préservant son ascendant sur son cadet et en défendant sa vision maniaque du droit.
Tout cela était encore assez exemplaire...