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Note moyenne de cet épisode: 12.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 8
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russel 
12.0
12.0
Ce n'est quand même pas le bon plan de balader le spectateur durant 7 épisodes en meublant avec des trucs accessoires pour ensuite tout bourrer dans le final au point que les choses deviennent plus illisibles que réellement pertinentes. Et puis surtout que de mystères, de postures, pour au final ne même pas parvenir à livrer un twist digne de ce nom. C'est le conglomérat Tec qui a fait péter la planète. Oui enfin pour moi c'était déjà une évidence depuis un bon bout de temps, pas un scoop. Même en sachant que bousiller le gros de l'humanité pour mieux la contrôler ensuite, ça reste un plan assez naze vu que la terre est dévastée et ne ressemble plus à rien. Où est le profit pour ces managers supposés être rationnels au moins sur ce point?
Les showrunners ont voulu compliquer le truc alors que Fallout c'est plus brut de décoffrage dans le cheminement. La profondeur proposée est contreproductive et pire se révèle souvent bancale. Quel intérêt de détenir la propriété de la cold fusion qui permet d'obtenir de l'énergie illimitée et de ne pas l'utiliser au moins pour ses vaults supposés devoir fonctionner pour un temps long? Les vaults du coup tournent avec une batterie nucléaire, qui peut se voler facilement comme on a pu le voir dans le vault 4. Tout ça ne fait pas très sérieux, même quand on a affaire à une sorte de World Economic Forum un peu zinzin.
Voir Hank se barrer peinard alors qu'il était initialement détenu en cage, on comprend que c'est pour ouvrir sur une saison 2 avec Lucy qui fait équipe avec The Ghoul. The Ghoul qui est un peu l'homme au chapeau noir de Westworld vu qu'il a tout suivi depuis le début, il est un peu au courant de tout, sauf de la localisation de sa famille. Et pourtant il sait où sont logés les gros patrons, qui ne sont de toute évidence pas tous rangés dans les congélos du vault 31 mais résident dans une autre cité, où semble échouer Hank à la fin... Mais arrivé à ce point, j'ai le sentiment de ne plus avoir grand chose à apprendre. Il ne reste qu'à faire un nettoyage un peu fastidieux des gros bonnets.
L'apport des showrunners à l'univers de la licence n'est pas grandiose au bout du compte. Tout ça est trop approximatif et somme toute décevant (une constante pour moi concernant Jonathan Nolan décidément). Et c'est dommage car si on s'arrête à la simple production, la qualité du passage en live est impressionnante. Il y a un vrai respect du matériau qui n'est pas traité à la légère. Beaucoup de protagonistes sont intéressants dans leur traitement, même si là aussi ça part en vrac à la fin. Les scénaristes n'auraient pas du vouloir viser au dessus du simple divertissement, ils n'ont pas les épaules pour faire plus.
Les showrunners ont voulu compliquer le truc alors que Fallout c'est plus brut de décoffrage dans le cheminement. La profondeur proposée est contreproductive et pire se révèle souvent bancale. Quel intérêt de détenir la propriété de la cold fusion qui permet d'obtenir de l'énergie illimitée et de ne pas l'utiliser au moins pour ses vaults supposés devoir fonctionner pour un temps long? Les vaults du coup tournent avec une batterie nucléaire, qui peut se voler facilement comme on a pu le voir dans le vault 4. Tout ça ne fait pas très sérieux, même quand on a affaire à une sorte de World Economic Forum un peu zinzin.
Voir Hank se barrer peinard alors qu'il était initialement détenu en cage, on comprend que c'est pour ouvrir sur une saison 2 avec Lucy qui fait équipe avec The Ghoul. The Ghoul qui est un peu l'homme au chapeau noir de Westworld vu qu'il a tout suivi depuis le début, il est un peu au courant de tout, sauf de la localisation de sa famille. Et pourtant il sait où sont logés les gros patrons, qui ne sont de toute évidence pas tous rangés dans les congélos du vault 31 mais résident dans une autre cité, où semble échouer Hank à la fin... Mais arrivé à ce point, j'ai le sentiment de ne plus avoir grand chose à apprendre. Il ne reste qu'à faire un nettoyage un peu fastidieux des gros bonnets.
L'apport des showrunners à l'univers de la licence n'est pas grandiose au bout du compte. Tout ça est trop approximatif et somme toute décevant (une constante pour moi concernant Jonathan Nolan décidément). Et c'est dommage car si on s'arrête à la simple production, la qualité du passage en live est impressionnante. Il y a un vrai respect du matériau qui n'est pas traité à la légère. Beaucoup de protagonistes sont intéressants dans leur traitement, même si là aussi ça part en vrac à la fin. Les scénaristes n'auraient pas du vouloir viser au dessus du simple divertissement, ils n'ont pas les épaules pour faire plus.
