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Note moyenne de cet épisode: 10.0 / 20 (3)
Classement cette saison : 6
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guldo694 
7.0
7.0
J'avais lu le synopsis il y a un moment et j'attendais cette série avec impatience.
Après 10 premières minutes réjouissantes avec une planète déserte et un semblant de déprime du personnage principal, tout tombe à l'eau.
Tout n'est pretexte qu'à des blagues potaches, aucune reflexion philosophique, aucune profondeur dans l'intrigue...et dire que c'est le pilote qui donne le ton au reste de la série.
L'acteur ne me touche aucunement (ni dans sa désespérance fugitive, ni dans ses tentatives comiques), l'actrice s'est encore pire, sa voix est horripilante.
Pour moi ça s'arrête ici. 35 mm de ma vie manqueront au compteur à l'heure de ma mort (et oui je n'ai pas pu tenir jusqu'au bout).
Après 10 premières minutes réjouissantes avec une planète déserte et un semblant de déprime du personnage principal, tout tombe à l'eau.
Tout n'est pretexte qu'à des blagues potaches, aucune reflexion philosophique, aucune profondeur dans l'intrigue...et dire que c'est le pilote qui donne le ton au reste de la série.
L'acteur ne me touche aucunement (ni dans sa désespérance fugitive, ni dans ses tentatives comiques), l'actrice s'est encore pire, sa voix est horripilante.
Pour moi ça s'arrête ici. 35 mm de ma vie manqueront au compteur à l'heure de ma mort (et oui je n'ai pas pu tenir jusqu'au bout).
travis
13.0
13.0
Je n'ai pas du tout le même ressenti.
Je ne vais donner que sur le 1er épisode dans cette fiche car le 2nd est très différent.
Ce pilote m'a semblé plus adapté à une chaîne du câble tellement il est atypique et presque pas drôle (ce qui n'est pas vraiment un reproche mais plus un constat).
C'est un pari risqué de centrer une série (même de 22 minutes) sur un seul personnage. Le pilote y parvient à peu près et l'introduction du 2nd personnage change heureusement la voie sur laquelle semblait se diriger Last Man on Earth.
Cet épisode est sympathique et original mais manque de vrais moments d'humour.
Je ne vais donner que sur le 1er épisode dans cette fiche car le 2nd est très différent.
Ce pilote m'a semblé plus adapté à une chaîne du câble tellement il est atypique et presque pas drôle (ce qui n'est pas vraiment un reproche mais plus un constat).
C'est un pari risqué de centrer une série (même de 22 minutes) sur un seul personnage. Le pilote y parvient à peu près et l'introduction du 2nd personnage change heureusement la voie sur laquelle semblait se diriger Last Man on Earth.
Cet épisode est sympathique et original mais manque de vrais moments d'humour.
russel
10.0
10.0
Si j'avais intégré à la base du projet son côté comédie, je n'avais pas forcément saisi qu'on allait se diriger droit vers le sitcom. Qu'on soit bien clair l'aspect survival ici n'est que le prétexte de départ. Il n'influe que superficiellement sur le développement. La vraisemblance du contexte étant pratiquement nulle, une épidémie qui ne laisse aucun cadavre, aucun signe de panique, de désastre. Tout est bien en ordre, chacun est mort et enterré.
L'idée est plus de mettre à disposition d'un privilégié l'intégralité de la société de consommation pour qu'il s'éclate que de réfléchir à comment un survivant peut s'en sortir dans un univers désertifié. Au départ, l'exercice est plutôt jouissif. Je me suis dit que j'aurais fait un peu les mêmes conneries à la place de Phil. Mais au bout de 5 minutes, on a fait le tour et là je me dis bon sang ils vont en faire une série?!
10 minutes passées, c'est avec soulagement que je vois Phil entreprendre de mettre un terme à son existence pathétique (Zemeckis et Hanks ont réussi à me captiver plus longtemps avec Cast Away). Arrive donc le deuxième personnage. J'apprécie le clin d'oeil sur Alexandra Daddario vite éclipsée par Kristen Schaal. On perd au change à tous les niveaux. Loin de relancer l'intérêt le pendant féminin du premier survivant nous engage rapidement dans une guerre des sexes assez cliché à base de vulgaires scènes de ménage horripilantes et sans finesse. On nous sert les basiques de la guerre des sexes avec le côté pratique brut de décoffrage pour le mec et les habitudes maniérées pour la nana. Aucune révélation pertinente, on échappe provisoirement à la lunette des WC à rabattre parce que le gars se soulage pour l'instant dans sa piscine. Et toujours aucune question par rapport au monde qui les entoure, aucune émotion tangible. Elle songe à repeupler la terre, lui n'est pas contre tirer un coup...
Misère autant je rouspète contre les prises de tête excessives des protagonistes de The Walking Dead face à l'adversité, autant là on s'adresse avant tout aux demeurés. Je n'arrive toujours pas à visualiser vers quoi les showrunners veulent arriver. Mais sur la base actuelle, je ne vais pas suivre très loin. La Fox toujours dans les choux décidément...
L'idée est plus de mettre à disposition d'un privilégié l'intégralité de la société de consommation pour qu'il s'éclate que de réfléchir à comment un survivant peut s'en sortir dans un univers désertifié. Au départ, l'exercice est plutôt jouissif. Je me suis dit que j'aurais fait un peu les mêmes conneries à la place de Phil. Mais au bout de 5 minutes, on a fait le tour et là je me dis bon sang ils vont en faire une série?!
10 minutes passées, c'est avec soulagement que je vois Phil entreprendre de mettre un terme à son existence pathétique (Zemeckis et Hanks ont réussi à me captiver plus longtemps avec Cast Away). Arrive donc le deuxième personnage. J'apprécie le clin d'oeil sur Alexandra Daddario vite éclipsée par Kristen Schaal. On perd au change à tous les niveaux. Loin de relancer l'intérêt le pendant féminin du premier survivant nous engage rapidement dans une guerre des sexes assez cliché à base de vulgaires scènes de ménage horripilantes et sans finesse. On nous sert les basiques de la guerre des sexes avec le côté pratique brut de décoffrage pour le mec et les habitudes maniérées pour la nana. Aucune révélation pertinente, on échappe provisoirement à la lunette des WC à rabattre parce que le gars se soulage pour l'instant dans sa piscine. Et toujours aucune question par rapport au monde qui les entoure, aucune émotion tangible. Elle songe à repeupler la terre, lui n'est pas contre tirer un coup...
Misère autant je rouspète contre les prises de tête excessives des protagonistes de The Walking Dead face à l'adversité, autant là on s'adresse avant tout aux demeurés. Je n'arrive toujours pas à visualiser vers quoi les showrunners veulent arriver. Mais sur la base actuelle, je ne vais pas suivre très loin. La Fox toujours dans les choux décidément...
