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Note moyenne de cet épisode: 13.0 / 20 (2)
Classement cette saison : 8
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Moyenne de la série : 91.2/100.
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travis 
12.0
12.0
Un peu mieux que le précédent mais toujours bien loin de mes attentes.
Je retiendrai surtout de cet épisode les apparitions de Duchovny et Michael Cera ainsi que la fin avec ce face-à -face entre le doppelganger et Lynch.
Mais je regrette profondément qu'on ne retienne de cet épisode de Twin Peaks (et ça me fait mal d'appeler cette série comme ça) que ces guests. Au moins, là ils sont bien utilisés...
Le vrai Cooper me manque, le vrai Twin Peaks me manque...
Mais heureusement, on va apparemment avoir droit à un concert à la fin de chaque épisode donc on est bien contents de suivre cette série.
Je retiendrai surtout de cet épisode les apparitions de Duchovny et Michael Cera ainsi que la fin avec ce face-à -face entre le doppelganger et Lynch.
Mais je regrette profondément qu'on ne retienne de cet épisode de Twin Peaks (et ça me fait mal d'appeler cette série comme ça) que ces guests. Au moins, là ils sont bien utilisés...
Le vrai Cooper me manque, le vrai Twin Peaks me manque...
Mais heureusement, on va apparemment avoir droit à un concert à la fin de chaque épisode donc on est bien contents de suivre cette série.
russel
14.0
14.0
J'ai bingé comme un dingo parce que j'étais quand même furieusement en manque de matière neuve venant de Lynch. Quand bien même je me vois obligé de tempérer un peu mon engouement arrivé au 4ème épisode tant il devient évident que Lynch charge quand même bien la barque et a ajouté un peu trop de gras dans ses saucisses pour frauder le distributeur et la clientèle. Confirmation d'une part du grand remplissage de la durée de l'épisode avec des éléments parfaitement dispensables. Je passe sur l'intermède musical final. Après tout pourquoi pas en guise de générique, c'est partiellement justifié et ça donne un côté Saturday Night Live (et il est évident que Lynch se fait plaisir). Mais en revanche le nombre de séquences interminables où il ne se passe rien ou si peu grand chose. Le monologue débile de Michael Cera en pseudo Marlon Brando bidon, c'était grotesque mais parfaitement assumé. Le pauvre Sheriff Truman est le premier à être affligé preuve que l'idiotie du pauvre garçon est bien avérée, avec les parents qu'il se trimbale c'est assez compréhensible. Lynch continue de se moquer de sa série à succès. Même si on était toujours à la limite du pastiche dans les saisons précédentes, là on touche la caricature (séquence de larmes de Bobby, ça faisait pitié).
Côté Cooper on ne peut pas dire que ça file non plus. Il n'en avait pas fini avec les machines à sous !! Sachant qu'il est fortement diminué, il lui faut du temps pour rejoindre son domicile, du moins celui de Dougie. Comme c'est pratique. Donc on le quitte presque avec soulagement au moment du petit déjeuner tant c'est laborieux. Il y a le clin d'oeil sur le café, vague espoir pour que Cooper retrouve un minimum ses moyens. Sauf que le bad Cooper est toujours de ce monde. Ce qui annule ma théorie des facettes qui ne peuvent cohabiter sur le même plan. Il se dessine en tout cas que les deux Cooper semblent être la moitié du même tout. Un incident semblant les avoir dissociés lors d'une opération undercover (à ce niveau là j'avais bon). On revient à la schizophrénie qui semble obséder Lynch sur ses dernières oeuvres, notamment dans Inland Empire autour du métier d'acteur. Je suppose que si on rassemble les deux Cooper, le vilain et le simplet, on obtiendra un Dale normal. Mais vu la vitesse de croisière du paquebot, on n'est pas rendu... C'est The Straight Story sur le tracteur tondeuse...
Si le niveau devient fluctuant, à noter le monde qui se presse toujours pour faire un cameo. A la longue ça devient impressionnant. Sympa que Naomi Watts vienne filer un coup de main vu qu'elle a été révélée par Lynch. Drôle le retour de Duchovny en Dennise qui a monté en grade. Une grande famille malgré tout... En tout cas nous voila partis pour un été lynchien, pour le meilleur comme pour le pire mais forcément pour une expérience peu commune qui nous mènera jusqu'à la rentrée de septembre.
Côté Cooper on ne peut pas dire que ça file non plus. Il n'en avait pas fini avec les machines à sous !! Sachant qu'il est fortement diminué, il lui faut du temps pour rejoindre son domicile, du moins celui de Dougie. Comme c'est pratique. Donc on le quitte presque avec soulagement au moment du petit déjeuner tant c'est laborieux. Il y a le clin d'oeil sur le café, vague espoir pour que Cooper retrouve un minimum ses moyens. Sauf que le bad Cooper est toujours de ce monde. Ce qui annule ma théorie des facettes qui ne peuvent cohabiter sur le même plan. Il se dessine en tout cas que les deux Cooper semblent être la moitié du même tout. Un incident semblant les avoir dissociés lors d'une opération undercover (à ce niveau là j'avais bon). On revient à la schizophrénie qui semble obséder Lynch sur ses dernières oeuvres, notamment dans Inland Empire autour du métier d'acteur. Je suppose que si on rassemble les deux Cooper, le vilain et le simplet, on obtiendra un Dale normal. Mais vu la vitesse de croisière du paquebot, on n'est pas rendu... C'est The Straight Story sur le tracteur tondeuse...
Si le niveau devient fluctuant, à noter le monde qui se presse toujours pour faire un cameo. A la longue ça devient impressionnant. Sympa que Naomi Watts vienne filer un coup de main vu qu'elle a été révélée par Lynch. Drôle le retour de Duchovny en Dennise qui a monté en grade. Une grande famille malgré tout... En tout cas nous voila partis pour un été lynchien, pour le meilleur comme pour le pire mais forcément pour une expérience peu commune qui nous mènera jusqu'à la rentrée de septembre.
