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Note moyenne de cet épisode: 16.0 / 20 (2)
Classement cette saison : 7
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Moyenne de la série : 88.5/100.
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russel 
16.0
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russel
16.0
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Joan enfin qui tente de faire son trou, dans la saison, mais aussi dans l'agence.
Ca tient limite de l'insurrection (Pete toujours aussi petit chefaillon phallocrate). Je croise les doigts pour que Avon soit charmé par l'approche féminine (savoureuse friction entre Joan et Peggy autour de leurs parcours pro respectifs, avec la solidarité féminine qui l'emporte). C'est en effet une revanche pour Joan qui a conquis jusqu'ici ses galons essentiellement avec ses charmes (épisode douloureux de Jaguar)
Judicieusement on nous colle en parallèle une équipée Don + Roger qui contraste avec la paire Peggy + Joan. Et on ne peut pas dire que ce soit le génie qui leur fasse décrocher les étoiles. Les deux publicistes sont en terrain conquis, avancent au culot et sont donc plus préoccupés par s'envoyer en l'air.
Don décidément peu verni dans ses incartades extra conjugales (l'âge?) encore rattrapé par les démons de son passé.
De leur côté Ted et Jim (joué par Harry Hamlin que je n'avais pas reconnu, forcément Perseus de Clash of the Titans ça date un peu) ne sont pas forcément plus brillants, réservant leurs efforts à masquer leur inconséquence. Pas le sentiment que cette association va survivre à la saison.
Sentiment global toujours soutenu d'un changement d'époque avec cette transition des 60's aux 70's. Curieux de voir comment Don va passer le cap libertaire, l'explosion des conventions, la libération des moeurs et l'avènement de l'individualisme...
Ca tient limite de l'insurrection (Pete toujours aussi petit chefaillon phallocrate). Je croise les doigts pour que Avon soit charmé par l'approche féminine (savoureuse friction entre Joan et Peggy autour de leurs parcours pro respectifs, avec la solidarité féminine qui l'emporte). C'est en effet une revanche pour Joan qui a conquis jusqu'ici ses galons essentiellement avec ses charmes (épisode douloureux de Jaguar)
Judicieusement on nous colle en parallèle une équipée Don + Roger qui contraste avec la paire Peggy + Joan. Et on ne peut pas dire que ce soit le génie qui leur fasse décrocher les étoiles. Les deux publicistes sont en terrain conquis, avancent au culot et sont donc plus préoccupés par s'envoyer en l'air.
Don décidément peu verni dans ses incartades extra conjugales (l'âge?) encore rattrapé par les démons de son passé.
De leur côté Ted et Jim (joué par Harry Hamlin que je n'avais pas reconnu, forcément Perseus de Clash of the Titans ça date un peu) ne sont pas forcément plus brillants, réservant leurs efforts à masquer leur inconséquence. Pas le sentiment que cette association va survivre à la saison.
Sentiment global toujours soutenu d'un changement d'époque avec cette transition des 60's aux 70's. Curieux de voir comment Don va passer le cap libertaire, l'explosion des conventions, la libération des moeurs et l'avènement de l'individualisme...
