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Encore une fois, je suis bluffé, happé.
La scène autour de la table - qu'on a déjà vu mille fois dans 100 autres séries - est hypnotisante. J'ai rien compris sur le moment et ce n'était même pas du n'importe quoi au final.
Quelle performance d'Eva Green... Je n'ai jamais douté de ces talents d'actrices mais là elle met la barre un cran plus haut. Et sans dire un mot, Timothy Dalton fait très fort aussi.
On se lance dans plein d'intrigues, oui, mais j'apprécie déjà chaque personnage et je veux savoir qui est quoi et ce qui va leur arriver.
En plus, l'intrigue principal avance quand même substantiellement et elle me passionne déjà .
En bonus, tout est super soigné : décors, réa, sons,...
Très gros potentiel pour cette série.
La scène autour de la table - qu'on a déjà vu mille fois dans 100 autres séries - est hypnotisante. J'ai rien compris sur le moment et ce n'était même pas du n'importe quoi au final.
Quelle performance d'Eva Green... Je n'ai jamais douté de ces talents d'actrices mais là elle met la barre un cran plus haut. Et sans dire un mot, Timothy Dalton fait très fort aussi.
On se lance dans plein d'intrigues, oui, mais j'apprécie déjà chaque personnage et je veux savoir qui est quoi et ce qui va leur arriver.
En plus, l'intrigue principal avance quand même substantiellement et elle me passionne déjà .
En bonus, tout est super soigné : décors, réa, sons,...
Très gros potentiel pour cette série.
Je reste un peu dans l'expectative avec cette série. En grande partie parce qu'on semble se refuser à nous servir une intrigue consistante d'entrée de jeu, préférant s'éterniser sur le passif de chacun et accessoirement nous rajouter de nouveaux personnages. Donc on pioche maintenant dans Poe et Dorian Gray est ainsi convoqué sans que ça n'accélère véritablement le récit, bien que tout ce petit monde soit mis en relation.
La séquence (longue) de possession de Ives est le principal moment de tension. Et encore c'est essentiellement de la parlote. Lyle se lance aussi dans une longue explication certes riche en enseignements sur le danger qui menace le monde, mais on souhaiterait être confronté au mal un peu plus frontalement. A côté on s'ennuie un peu avec Chandler et Croft qui passent leur temps à petit déjeuner au whisky...
Le segment Frankenstein, devrait logiquement être plus périphérique et pourtant c'est celui qui s'impose le plus par la dynamique de son déroulement. Bien le coup de faire apparaître une deuxième créature à la fin.
La série reste superbement bien produite mais il y a un souci de calibrage. Là il va falloir amener du grain à moudre et cesser de tourner autour du pot. C'est tellement compliqué pour imposer une série, autant se lâcher dés le départ pour fidéliser. Donc plus de vampires égyptiens et moins de blabla.
La séquence (longue) de possession de Ives est le principal moment de tension. Et encore c'est essentiellement de la parlote. Lyle se lance aussi dans une longue explication certes riche en enseignements sur le danger qui menace le monde, mais on souhaiterait être confronté au mal un peu plus frontalement. A côté on s'ennuie un peu avec Chandler et Croft qui passent leur temps à petit déjeuner au whisky...
Le segment Frankenstein, devrait logiquement être plus périphérique et pourtant c'est celui qui s'impose le plus par la dynamique de son déroulement. Bien le coup de faire apparaître une deuxième créature à la fin.
La série reste superbement bien produite mais il y a un souci de calibrage. Là il va falloir amener du grain à moudre et cesser de tourner autour du pot. C'est tellement compliqué pour imposer une série, autant se lâcher dés le départ pour fidéliser. Donc plus de vampires égyptiens et moins de blabla.