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Note moyenne de cet épisode: 16.0 / 20 (1)
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russel 
16.0
16.0
L'extension des séries cultes, toujours délicat quand on vient toucher aux monuments sacrés.
Il y a des expériences malheureuses, comme l'après dispensable et vain et l'avant interminable de Breaking Bad. Ici on est donc dans l'avant Sopranos et bon David Chase ne s'en tire pas si mal parce qu'il est un gars sérieux et raisonnable. 120 minutes pour conter l'enfance du gros Tony et nous expliquer comment il a pu en arriver là , c'est juste ce qu'il faut, pas besoin d'en coller 5 saisons. Encore que... Michael Gandolfini est tellement inespéré pour incarner la jeunesse du personnage qui a rendu son père célèbre (James, petit ange parti trop tôt). C'est une évidence, on ne cherche même pas les défauts.
Bon après il n'y a pas de véritables surprises non plus. Tu deviens parrain parce que tu te trimballais une famille à la con. Et on connait la plupart des membres qu'on retrouve ici plus jeunes. Mention spéciale à Corey Stoll qui fait un bon Junior déjà bien sournois. Pas souvenir qu'on ait évoqué le père de Christopher dans la série, il sera pourtant la source d'inspiration principale, le déclencheur de Tony, pas un cadeau, avec pareil oncle tu finis forcément chez la psy.
J'aurais pu vivre dans le souvenir de la prodigieuse série de HBO sans ce flashback. Mais le fait qu'il existe pour une fois ne me perturbe pas. Chase a fait du bon boulot, ça se laisse regarder comme un Scorsese inspiré (donc pas le chiantissime The Irishman), ça s'emboîte parfaitement dans l'oeuvre maîtresse comme souvent chez les artisans de premier plan. C'est légitime. C'est accepté et validé.
Il y a des expériences malheureuses, comme l'après dispensable et vain et l'avant interminable de Breaking Bad. Ici on est donc dans l'avant Sopranos et bon David Chase ne s'en tire pas si mal parce qu'il est un gars sérieux et raisonnable. 120 minutes pour conter l'enfance du gros Tony et nous expliquer comment il a pu en arriver là , c'est juste ce qu'il faut, pas besoin d'en coller 5 saisons. Encore que... Michael Gandolfini est tellement inespéré pour incarner la jeunesse du personnage qui a rendu son père célèbre (James, petit ange parti trop tôt). C'est une évidence, on ne cherche même pas les défauts.
Bon après il n'y a pas de véritables surprises non plus. Tu deviens parrain parce que tu te trimballais une famille à la con. Et on connait la plupart des membres qu'on retrouve ici plus jeunes. Mention spéciale à Corey Stoll qui fait un bon Junior déjà bien sournois. Pas souvenir qu'on ait évoqué le père de Christopher dans la série, il sera pourtant la source d'inspiration principale, le déclencheur de Tony, pas un cadeau, avec pareil oncle tu finis forcément chez la psy.
J'aurais pu vivre dans le souvenir de la prodigieuse série de HBO sans ce flashback. Mais le fait qu'il existe pour une fois ne me perturbe pas. Chase a fait du bon boulot, ça se laisse regarder comme un Scorsese inspiré (donc pas le chiantissime The Irishman), ça s'emboîte parfaitement dans l'oeuvre maîtresse comme souvent chez les artisans de premier plan. C'est légitime. C'est accepté et validé.
