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Il n'en manque aucun à l'appel pour cette dernière saison, ce qui entretient bien l'esprit familial de la série policière; chacun ayant droit à ses petites scènes d'exposition (ça fait un bail qu'on n'avait pas vu Billets sur une scène de crime). La saison 6 était particulièrement à court de matière première, Amazon a la sagesse de finir sur du 8 épisodes, ce qui commence à devenir le volume de référence pour les séries en 2021. On est désormais loin des 13 épisodes d'autrefois, les showrunners sont trop en PLS pour tenir la distance.
Du coup, ça démarre bien. Un drame, du gang de dealers latinos. Bosch a de quoi s'occuper, surtout qu'une des victimes, une gamine, ne peut que le surmotiver. J. Edgar en est encore à encaisser ses récents exploits. Il nous la joue un peu déglingos, ce qui ne le rend pas forcément super attachant. Même pas certain que la délibération de sa hiérarchie au sujet du flingage d'Avril, ne lui valant qu'une modeste suspension, soit propre à le remettre dans de bonnes dispositions.
Donc bien content de les retrouver tous. Le côté nouvel an fait un peu déconnecté en plein été, mais on nous évite le covid. Et ça c'est toujours une bonne chose.
Du coup, ça démarre bien. Un drame, du gang de dealers latinos. Bosch a de quoi s'occuper, surtout qu'une des victimes, une gamine, ne peut que le surmotiver. J. Edgar en est encore à encaisser ses récents exploits. Il nous la joue un peu déglingos, ce qui ne le rend pas forcément super attachant. Même pas certain que la délibération de sa hiérarchie au sujet du flingage d'Avril, ne lui valant qu'une modeste suspension, soit propre à le remettre dans de bonnes dispositions.
Donc bien content de les retrouver tous. Le côté nouvel an fait un peu déconnecté en plein été, mais on nous évite le covid. Et ça c'est toujours une bonne chose.