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Gros soucis narratifs...
Certes, on est au summum de la complexité de la relation fusionnel qu'il peut y avoir entre Will et Hannibal.
Mais ce n'est pas pour autant qu'il ne faut pas être rigoureux sur le reste.
De nombreux points sont assez absurdes. Le plus choquant étant la "killeuse" du jour qui se retrouve on ne sait comment sous le lit de Will, ça semble totalement improbable.
Avec la scène de fin je pensais qu'on allait le comprendre mais au contraire, ça ne fait créer que d'avantage d'incompréhensions.
Puis certes, Will est atteint d'encéphalite, mais je le trouve quand même très naïf. Il souhaite clairement avoir une maladie physiologie plutôt que psychique et fait davantage de tests pour cela. Donc je ne comprend pas qu'il ne s'oriente pas vers un autre docteur. Ou bien est-ce sa confiance envers Hannibal qui domine ? Ça doit être ça, mais bon...
D'un point de vue relationnel on ne cesse de progresser, mais d'un point de vue narratif, ça se dégrade de plus en plus j'ai l'impression et c'est fort dommage.
Et sinon, qu'en est-il du cancer de la femme de Jack ? Je me demande si on en entendra parler à nouveau...
Certes, on est au summum de la complexité de la relation fusionnel qu'il peut y avoir entre Will et Hannibal.
Mais ce n'est pas pour autant qu'il ne faut pas être rigoureux sur le reste.
De nombreux points sont assez absurdes. Le plus choquant étant la "killeuse" du jour qui se retrouve on ne sait comment sous le lit de Will, ça semble totalement improbable.
Avec la scène de fin je pensais qu'on allait le comprendre mais au contraire, ça ne fait créer que d'avantage d'incompréhensions.
Puis certes, Will est atteint d'encéphalite, mais je le trouve quand même très naïf. Il souhaite clairement avoir une maladie physiologie plutôt que psychique et fait davantage de tests pour cela. Donc je ne comprend pas qu'il ne s'oriente pas vers un autre docteur. Ou bien est-ce sa confiance envers Hannibal qui domine ? Ça doit être ça, mais bon...
D'un point de vue relationnel on ne cesse de progresser, mais d'un point de vue narratif, ça se dégrade de plus en plus j'ai l'impression et c'est fort dommage.
Et sinon, qu'en est-il du cancer de la femme de Jack ? Je me demande si on en entendra parler à nouveau...
j'ai vraiment bien aimé cet épisode,très tendu tout du long. Les dissociations de will le mettent dans des positions compliquées. On voit bien que Lecter s'en régale et ne veut surtout pas que will guerisse.
A force de jouer avec will, celui ci va finir par s'en rendre compte et on peut imaginer que will commencera à comprendre qui est lecter à partir de ce moment lÃ
je ne suis pas d'accord avec toi russel sur le fait que la tueuse suive will, il s'identifie en elle et vraissembmablement elle aussi. Ca a du sens dans un monde de tarés en tout cas.
A force de jouer avec will, celui ci va finir par s'en rendre compte et on peut imaginer que will commencera à comprendre qui est lecter à partir de ce moment lÃ
je ne suis pas d'accord avec toi russel sur le fait que la tueuse suive will, il s'identifie en elle et vraissembmablement elle aussi. Ca a du sens dans un monde de tarés en tout cas.
Un peu mieux à mon sens que la semaine passée, parce qu'on retrouve un semblant d'élément thriller indispensable pour marquer le tempo de la série (belle séquence de terreur autour du meurtre de Beth LeBeau).
Mais ça manque toujours furieusement de limpidité et ce n'est pas seulement lié à la maladie déstructurante de Will qui altère la narration (bonne chose qu'on avance sur son diagnostique) mais c'est plus du à certains procédés narratifs un peu énormes à encaisser. Je pense ici notamment au parcours de Georgia la tueuse souffrant du syndrome de Cotard.
Qu'elle suive Will après que celui-ci la croise sur le lieu du meurtre où elle était revenue ce n'est juste pas possible. Il n'habitait pas à côté, comment a t-elle fait le trajet dans l'état où elle était? Je ne parle même pas du fait qu'elle se pointe à l'hôpital où est traité Will, juste au moment où Lecter est en train de faire son affaire au neuropsychiatre. Est-ce Lecter qui la trimbale d'un lieu à l'autre, dans ce cas il est indispensable de le montrer pour que ça reste compréhensible, sinon ça ne peut pas passer.
Ca flingue même tout le reste et c'est dommage parce que le rapport Hannibal / Will, entre amitié et intérêt scientifique est assez fascinant. On a une profondeur relationnelle en règle générale entre les protagonistes qui est un vrai plaisir. Plus généralement il y a un soin apporté dans la mise en scène qui est aussi à saluer parce que peu courant dans l'ambition. Une ambition telle que de pareilles maladresses scénaristiques deviennent inadmissibles.
A vouloir déstabiliser le spectateur à outrance, les auteurs de la série ont tendance à bousiller le potentiel du projet. Pas besoin que ce soit autant "what the fuck?", en revanche oui, plus de rigueur dans le récit. Ne serait-ce que pour contrebalancer la désorientation liée à la condition de Will Graham ou la folie qui entoure chaque massacre.
Mais ça manque toujours furieusement de limpidité et ce n'est pas seulement lié à la maladie déstructurante de Will qui altère la narration (bonne chose qu'on avance sur son diagnostique) mais c'est plus du à certains procédés narratifs un peu énormes à encaisser. Je pense ici notamment au parcours de Georgia la tueuse souffrant du syndrome de Cotard.
Qu'elle suive Will après que celui-ci la croise sur le lieu du meurtre où elle était revenue ce n'est juste pas possible. Il n'habitait pas à côté, comment a t-elle fait le trajet dans l'état où elle était? Je ne parle même pas du fait qu'elle se pointe à l'hôpital où est traité Will, juste au moment où Lecter est en train de faire son affaire au neuropsychiatre. Est-ce Lecter qui la trimbale d'un lieu à l'autre, dans ce cas il est indispensable de le montrer pour que ça reste compréhensible, sinon ça ne peut pas passer.
Ca flingue même tout le reste et c'est dommage parce que le rapport Hannibal / Will, entre amitié et intérêt scientifique est assez fascinant. On a une profondeur relationnelle en règle générale entre les protagonistes qui est un vrai plaisir. Plus généralement il y a un soin apporté dans la mise en scène qui est aussi à saluer parce que peu courant dans l'ambition. Une ambition telle que de pareilles maladresses scénaristiques deviennent inadmissibles.
A vouloir déstabiliser le spectateur à outrance, les auteurs de la série ont tendance à bousiller le potentiel du projet. Pas besoin que ce soit autant "what the fuck?", en revanche oui, plus de rigueur dans le récit. Ne serait-ce que pour contrebalancer la désorientation liée à la condition de Will Graham ou la folie qui entoure chaque massacre.
Mais je semble être le seul à être gêné par ces défauts. Tout le monde autour de moi acclame cet épisode...
Ah, absolument pas ! Je trouve que cet épisode est gâché par ces incohérences narratives, c'est vraiment dommage.
l'épisode m'a bien scotché donc c'est passé comme un lettre à la poste, elle l'aurait suivi sur la lune, j'aurai adheré