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Réserver un segment à Sifu, fait déjà plus sens et présente plus d'intérêt dans le cadre de Secret Level. Le jeu pondu par un studio français (cocorico) n'est pas forcément archi connu sorti des frontières de l'univers des gamers, mais il a su faire parler de lui en se distinguant par sa mécanique de jeu particulière, alors qu'à la base il reste un jeu de baston de plus. Son hommage est donc amplement mérité.
Surtout les animateurs ont ici l'occasion de bosser avec une direction artistique singulière clé en main. J'ai reconnu le titre du premier coup d'œil et pourtant je n'ai jamais joué au jeu. Le segment n'a pas la prétention d'extrapoler grand-chose avec son récit et s'en tient à la base de son concept die and retry. Il soigne ses combats, la moindre des choses, j'avais l'impression de renouer avec l'ambiance poisseuse du réjouissant film hongkongais City of Darkness vu récemment. On nous gratifie d'un joli parallèle en conclusion entre l'apprentissage du combattant et la fabrication des raviolis. Au poil.
Surtout les animateurs ont ici l'occasion de bosser avec une direction artistique singulière clé en main. J'ai reconnu le titre du premier coup d'œil et pourtant je n'ai jamais joué au jeu. Le segment n'a pas la prétention d'extrapoler grand-chose avec son récit et s'en tient à la base de son concept die and retry. Il soigne ses combats, la moindre des choses, j'avais l'impression de renouer avec l'ambiance poisseuse du réjouissant film hongkongais City of Darkness vu récemment. On nous gratifie d'un joli parallèle en conclusion entre l'apprentissage du combattant et la fabrication des raviolis. Au poil.