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Note moyenne de cet épisode: 18.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 3
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russel 
18.0
18.0
Enfin la suite ! Je pensais qu'on allait avoir droit à un coup d'accélérateur pour engager cette deuxième partie de saison, que ça se focaliserait alors sur le retour de Spencer à Yellowstone et en fait on prend son temps. Ca se comprend parce que rejoindre l'Amérique depuis l'Afrique, ce n'est pas non plus évident en 1923. Et loin de faciliter les choses, Sheridan réserve une grosse traversée aux deux tourtereaux. A partir du moment où le capitaine commençait à cracher ses poumons dans sa coupe, j'avais capté qu'il n'irait pas au bout du voyage et qu'il allait fallait se passer de ses services (et ils ont néanmoins pris l'impayable Peter Stormare pour assurer la pige), donc que ce serait compliqué. Mais en revanche le coup du vaisseau fantôme, c'était extra et balancer le twist (qui n'en est pas un car on se doute que Spencer et Alexandra sont montés sur l'épave) en même temps que la réception du câble par Cara, c'est idéal.
On conserve une qualité d'écriture qui est assez exemplaire et désormais peu courante. Idem pour la production, beaucoup de séquences en extérieur et rien ne parait bricolé, que ce soit en Afrique ou dans le désert américain. On parvient même à faire des trucs malins dans de petites scènes d'exposition; comme lorsque Whitfield (Timothy Dalton ultra roublard avec sa tête de renard) nous démontre combien il est facile de se mettre un lascar dans la poche grâce au progrès et au confort qu'il implique.
J'étais un peu plus concerné par le segment Rainwater désormais en cavale, même si je trouve que le rendu de l'école catholique est toujours un peu abusée. J'ai plus l'impression de voir une sorte de secte satanique à moitié démente. Ca dénote par rapport au reste. Même si on a beaucoup de situations très romanesques, il y a une qualité dans l'interprétation qui donne beaucoup de présence aux personnages. Je suis en pamoison devant Helen Mirren, tellement royale dans cette série. Et Harrison Ford qui s'accroche. Tiens bon la rampe Indy, surtout que ton autre incursion dans l'univers des séries télé n'est pas si convaincante. Shrinking, j'ai lâché après le pilote...
On conserve une qualité d'écriture qui est assez exemplaire et désormais peu courante. Idem pour la production, beaucoup de séquences en extérieur et rien ne parait bricolé, que ce soit en Afrique ou dans le désert américain. On parvient même à faire des trucs malins dans de petites scènes d'exposition; comme lorsque Whitfield (Timothy Dalton ultra roublard avec sa tête de renard) nous démontre combien il est facile de se mettre un lascar dans la poche grâce au progrès et au confort qu'il implique.
J'étais un peu plus concerné par le segment Rainwater désormais en cavale, même si je trouve que le rendu de l'école catholique est toujours un peu abusée. J'ai plus l'impression de voir une sorte de secte satanique à moitié démente. Ca dénote par rapport au reste. Même si on a beaucoup de situations très romanesques, il y a une qualité dans l'interprétation qui donne beaucoup de présence aux personnages. Je suis en pamoison devant Helen Mirren, tellement royale dans cette série. Et Harrison Ford qui s'accroche. Tiens bon la rampe Indy, surtout que ton autre incursion dans l'univers des séries télé n'est pas si convaincante. Shrinking, j'ai lâché après le pilote...
