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Note moyenne de cet épisode: 12.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 6
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Moyenne de la série : 96.5/100.
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The Devil's Chord
Un mauvais épisode de Glee à l'époque de Life on Mars, mâtiné d'un soupçon de Deadpool et d'une pincée de Priscilla folle du désert : bon sang, que c'est dur de retrouver du Doctor Who là dedans.
Entre Maestro qui poursuit la tendance commencée dans les spéciaux d'une hyper-inclusivité outrancière, les célestes et le Docteur qui brisent le 4ème mur, la réalisation parfois limite (ça chante et les lèvres ne bougent pas, ça joue 3 millions de notes au violon et les mains bougent à peine), la scène de comédie musicale (oui, oui, encore!) qui vient comme un cheveu sur la soupe, la résolution une nouvelle fois ultra simpliste, le sonique qui peut faire des bulles de silence façon Harkonnen… bref, on souffle et je l'ai dit à propos de l'épisode précédent, mais je le redis : j'ai du mal.
Et mes soupçons se confirment, Ruby est en passe de devenir une resucée de Clara Oswald, comme si une nouvelle Impossible Girl était obligatoire pour cette refonte de la série…
Question lore, les célestes ont l'air d'être les antagonistes principaux ce qui me désole un peu car au final cela s'éloigne vraiment de l'univers SF.
Et de nouveau, la femme mystérieuse apparaît brièvement mais on en apprend pas plus.
Bon les costumes sont cools mais c'est toujours aussi mince pour moi : on nous avait vendu un épisode sur les Beatles et au final, ils apparaissent peut être 5 minutes grand maximum (si on compare avec l'épisode sur Rosa Parks, le traitement avait été bien meilleur).
Le prochain épisode est de Moffatt, je croise les doigts car pour l'instant, à mon sens, j'ai franchement l'impression que RTD est en train d'effectuer un sacrifice rituel affublé d'oreilles de Mickey.
Un mauvais épisode de Glee à l'époque de Life on Mars, mâtiné d'un soupçon de Deadpool et d'une pincée de Priscilla folle du désert : bon sang, que c'est dur de retrouver du Doctor Who là dedans.
Entre Maestro qui poursuit la tendance commencée dans les spéciaux d'une hyper-inclusivité outrancière, les célestes et le Docteur qui brisent le 4ème mur, la réalisation parfois limite (ça chante et les lèvres ne bougent pas, ça joue 3 millions de notes au violon et les mains bougent à peine), la scène de comédie musicale (oui, oui, encore!) qui vient comme un cheveu sur la soupe, la résolution une nouvelle fois ultra simpliste, le sonique qui peut faire des bulles de silence façon Harkonnen… bref, on souffle et je l'ai dit à propos de l'épisode précédent, mais je le redis : j'ai du mal.
Et mes soupçons se confirment, Ruby est en passe de devenir une resucée de Clara Oswald, comme si une nouvelle Impossible Girl était obligatoire pour cette refonte de la série…
Question lore, les célestes ont l'air d'être les antagonistes principaux ce qui me désole un peu car au final cela s'éloigne vraiment de l'univers SF.
Et de nouveau, la femme mystérieuse apparaît brièvement mais on en apprend pas plus.
Bon les costumes sont cools mais c'est toujours aussi mince pour moi : on nous avait vendu un épisode sur les Beatles et au final, ils apparaissent peut être 5 minutes grand maximum (si on compare avec l'épisode sur Rosa Parks, le traitement avait été bien meilleur).
Le prochain épisode est de Moffatt, je croise les doigts car pour l'instant, à mon sens, j'ai franchement l'impression que RTD est en train d'effectuer un sacrifice rituel affublé d'oreilles de Mickey.
