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Note moyenne de cet épisode: 15.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 2
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Moyenne de la série : 96.5/100.
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oui oui 
15.0
15.0
Rogue
Allez, c'était sympa, je mets 15 car on a du voyage temporel au moment de la régence, des vaisseaux, des costumes d'époque, plein de références à la pop culture et la pop music, de l'humour, des joutes verbales en guise de flirt, des monstres originaux, un nouveau personnage qui pourrait très bien devenir une sorte de nouveau Jack Harkness (l'immortalité en moins), etc.
C'est l'épisode Doctor Who bien classique mais qui fait plaisir après tant de divagations dans les précédents.
Les critiques de la saison sont toujours valables cependant : c'est trop court, trop rapidement amené, plein de séquences dont on se contre-fiche phagocytent le runtime.
Déjà qu'à cause du format, on ne voit plus le Tardis voler ou atterrir, ce début in medias res forcé ne me plait pas, surtout, qui plus est, pour faire place à une nouvelle scène de danse (bon ok, c'est du quadrille, mais quand même).
On aurait également pu avoir une super scène de combat avec Ruby mais celle-ci est trop vite expédiée.
La colère du Docteur (un des aspects que je préfère voir, enfin!) retombe hélas aussi vite qu'elle est montée.
Le pire, je pense, concerne les relations entre les personnages : elles sont montrées comme déjà bâties mais on n'a pas vu cette construction donc cela paraît étrange. Le Ruby et le docteur interagissent trop peu, pareil pour Rogue, on part sur une fausse demande en mariage et un bisou alors qu'il y a du avoir quelques heures tout au plus entre les deux persos.
Enfin, la résolution est une nouvelle fois gentillette, tout comme les motivations des antagonistes : des piafs métamorphes humanoïdes de l'espace qui font du cosplay, fallait oser.
Il reste le final en deux parties pour réussir à rapiécer toutes les petites bizarreries qui ne faisaient pas grand sens jusque là (Susan Twist, la dent en or, Mrs Flood, le Tardis qui fait des bruits bizarres, The One Who Waits, le boss du Meep, la maman de Ruby, etc). Croisons les doigts!
Allez, c'était sympa, je mets 15 car on a du voyage temporel au moment de la régence, des vaisseaux, des costumes d'époque, plein de références à la pop culture et la pop music, de l'humour, des joutes verbales en guise de flirt, des monstres originaux, un nouveau personnage qui pourrait très bien devenir une sorte de nouveau Jack Harkness (l'immortalité en moins), etc.
C'est l'épisode Doctor Who bien classique mais qui fait plaisir après tant de divagations dans les précédents.
Les critiques de la saison sont toujours valables cependant : c'est trop court, trop rapidement amené, plein de séquences dont on se contre-fiche phagocytent le runtime.
Déjà qu'à cause du format, on ne voit plus le Tardis voler ou atterrir, ce début in medias res forcé ne me plait pas, surtout, qui plus est, pour faire place à une nouvelle scène de danse (bon ok, c'est du quadrille, mais quand même).
On aurait également pu avoir une super scène de combat avec Ruby mais celle-ci est trop vite expédiée.
La colère du Docteur (un des aspects que je préfère voir, enfin!) retombe hélas aussi vite qu'elle est montée.
Le pire, je pense, concerne les relations entre les personnages : elles sont montrées comme déjà bâties mais on n'a pas vu cette construction donc cela paraît étrange. Le Ruby et le docteur interagissent trop peu, pareil pour Rogue, on part sur une fausse demande en mariage et un bisou alors qu'il y a du avoir quelques heures tout au plus entre les deux persos.
Enfin, la résolution est une nouvelle fois gentillette, tout comme les motivations des antagonistes : des piafs métamorphes humanoïdes de l'espace qui font du cosplay, fallait oser.
Il reste le final en deux parties pour réussir à rapiécer toutes les petites bizarreries qui ne faisaient pas grand sens jusque là (Susan Twist, la dent en or, Mrs Flood, le Tardis qui fait des bruits bizarres, The One Who Waits, le boss du Meep, la maman de Ruby, etc). Croisons les doigts!
