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Note moyenne de cet épisode: 14.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 5
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14.0
14.0
The demon of memes
Un case of the week qui pour une fois se termine par une conclusion non équivoque.
Le reste du lore continue de s'installer sans pour autant donner des réponses aux interrogations du spectateur.
Encore une fois, l'essentiel n'est pas là mais plutôt dans l'établissement des forces en présence. On comprend que la lutte Bien/Mal n'est pas seulement le fait d'êtres supérieurs mais surtout de leurs partisans qui font le plus gros du boulot et que la victoire dépendra de leur sort.
Sheryl qui obtient un boulot de troll sur Internet chargé de maintenir un climat de négativité en gardant les gens dans une spirale de doom scrolling illustre parfaitement l'atmosphère qui peut être générée par les algorithmes des médias actuels.
Du côté des gentils, c'est mensonges à tout va et on assiste à une scission insidieuse du groupe avec d'un côté l'apparition de la mystérieuse organisation des Amis du Vatican pour David, de l'autre Ben de plus en plus à l'écart et qui se montre d'autant plus dubitatif de voir le rift grandissant entre David et Kristen, sans oublier l'histoire avec LeRoux, pour laquelle il a définitivement compris qu'il y avait eu quelque chose. Et enfin, Kristen empêtrée dans une situation conjugale, sentimentale et financière difficile et qui craque un peu d'être esseulée alors que son mari vient juste de revenir. Du côté des filles Bouchard, l'influence néfaste des réseaux se fait également sentir pour la grande avec le meme internet autour duquel tourne l'enquête.
Les méchants semblent eux plus organisés : rien que le building du nouveau boulot de Sheryl respire la start-up nation ultra compétitive. Et ça fomente dur avec le traitement de Sheryl même si on ne sait toujours pas à quoi il sert et le piège tendu au pauvre Andy.
Points négatifs : pas de psy, ni de sister Andrea.
Points positifs : le retour annoncé de la prophétesse et les éléments visuels toujours délicieusement capillo-érectiles.
Il n'y a qu'à voir les scènes des toilettes ou encore ce Slenderman sur Google Map qui se rapproche au fil des photos pour se rappeler qu'Evil est vraiment une série d'ambiance et tirera des frissons de vos sentiments de malaise et de vos peurs primales.
Un case of the week qui pour une fois se termine par une conclusion non équivoque.
Le reste du lore continue de s'installer sans pour autant donner des réponses aux interrogations du spectateur.
Encore une fois, l'essentiel n'est pas là mais plutôt dans l'établissement des forces en présence. On comprend que la lutte Bien/Mal n'est pas seulement le fait d'êtres supérieurs mais surtout de leurs partisans qui font le plus gros du boulot et que la victoire dépendra de leur sort.
Sheryl qui obtient un boulot de troll sur Internet chargé de maintenir un climat de négativité en gardant les gens dans une spirale de doom scrolling illustre parfaitement l'atmosphère qui peut être générée par les algorithmes des médias actuels.
Du côté des gentils, c'est mensonges à tout va et on assiste à une scission insidieuse du groupe avec d'un côté l'apparition de la mystérieuse organisation des Amis du Vatican pour David, de l'autre Ben de plus en plus à l'écart et qui se montre d'autant plus dubitatif de voir le rift grandissant entre David et Kristen, sans oublier l'histoire avec LeRoux, pour laquelle il a définitivement compris qu'il y avait eu quelque chose. Et enfin, Kristen empêtrée dans une situation conjugale, sentimentale et financière difficile et qui craque un peu d'être esseulée alors que son mari vient juste de revenir. Du côté des filles Bouchard, l'influence néfaste des réseaux se fait également sentir pour la grande avec le meme internet autour duquel tourne l'enquête.
Les méchants semblent eux plus organisés : rien que le building du nouveau boulot de Sheryl respire la start-up nation ultra compétitive. Et ça fomente dur avec le traitement de Sheryl même si on ne sait toujours pas à quoi il sert et le piège tendu au pauvre Andy.
Points négatifs : pas de psy, ni de sister Andrea.
Points positifs : le retour annoncé de la prophétesse et les éléments visuels toujours délicieusement capillo-érectiles.
Il n'y a qu'à voir les scènes des toilettes ou encore ce Slenderman sur Google Map qui se rapproche au fil des photos pour se rappeler qu'Evil est vraiment une série d'ambiance et tirera des frissons de vos sentiments de malaise et de vos peurs primales.
