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Note moyenne de cet épisode: 15.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 4
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15.0
15.0
The Demon of Algorithms
Un bon épisode qui vient faire remonter à la surface beaucoup de pistes ouvertes et de thèmes abordés au fil des épisodes précédents : David et Evil Kristen, les 4L (aka the Bouchard girls) et le panneau des règles domestiques, le Monsignor et l'enquête sur Leland, Ben et ses accointances technologiques, le doomscrolling et la spirale de négativité, l'absence de morale du monde corporate, les addictions aux réseaux sociaux, le clout chasing à tout prix, etc.
Tout cela nous donne l'impression d'avancer pour mieux jouer avec nos attentes en nous parlant des Amis du Vatican, de la prophétesse et nous fait comprendre qu'on peut s'asseoir dessus : ce n'est pas le spectateur qui décide. Elle se paie également notre tête et tout le monde en prend un peu pour son grade, que ce soit la société dans son ensemble (« Well, it's the American way. When in doubt, go with violence and sex ») ou de manière individuelle en nous renvoyant nos comportements au visage (« It's addictive, isn't it? I sat down to watch one video, and I was there for an hour »).
Au lieu de ça, elle nous lâche deux moments totalement inattendus sous la forme d'un David qui se fait sucer le cerveau (et serait donc sous influence?) et d'un Andy en bien fâcheuse posture.
Mention spéciale à David Emerson (impérial dans son rôle) qui, suite au dépit d'avoir été débarqué par le Monsignor, lance une réplique diabolique à propos des 4L.
Et également bravo à Good Guy Ben qui se fait ostraciser pour avoir essayé d'apporter un peu d'ordre et de positivité dans le chaos des réseaux.
Enfin, je pense que chaque spectateur aurait vendu son âme séance tenante à cette vision d'une Evil Kristen en tenue d'écolière délurée se tenant assise sur un lit devant les arches gothiques d'un bâtiment religieux.
On sait que c'est mal et c'est pour ça que cette série est tellement bien.
"- You're gonna be sorry.
- It's a rare day when I'm not sorry. "
Un bon épisode qui vient faire remonter à la surface beaucoup de pistes ouvertes et de thèmes abordés au fil des épisodes précédents : David et Evil Kristen, les 4L (aka the Bouchard girls) et le panneau des règles domestiques, le Monsignor et l'enquête sur Leland, Ben et ses accointances technologiques, le doomscrolling et la spirale de négativité, l'absence de morale du monde corporate, les addictions aux réseaux sociaux, le clout chasing à tout prix, etc.
Tout cela nous donne l'impression d'avancer pour mieux jouer avec nos attentes en nous parlant des Amis du Vatican, de la prophétesse et nous fait comprendre qu'on peut s'asseoir dessus : ce n'est pas le spectateur qui décide. Elle se paie également notre tête et tout le monde en prend un peu pour son grade, que ce soit la société dans son ensemble (« Well, it's the American way. When in doubt, go with violence and sex ») ou de manière individuelle en nous renvoyant nos comportements au visage (« It's addictive, isn't it? I sat down to watch one video, and I was there for an hour »).
Au lieu de ça, elle nous lâche deux moments totalement inattendus sous la forme d'un David qui se fait sucer le cerveau (et serait donc sous influence?) et d'un Andy en bien fâcheuse posture.
Mention spéciale à David Emerson (impérial dans son rôle) qui, suite au dépit d'avoir été débarqué par le Monsignor, lance une réplique diabolique à propos des 4L.
Et également bravo à Good Guy Ben qui se fait ostraciser pour avoir essayé d'apporter un peu d'ordre et de positivité dans le chaos des réseaux.
Enfin, je pense que chaque spectateur aurait vendu son âme séance tenante à cette vision d'une Evil Kristen en tenue d'écolière délurée se tenant assise sur un lit devant les arches gothiques d'un bâtiment religieux.
On sait que c'est mal et c'est pour ça que cette série est tellement bien.
"- You're gonna be sorry.
- It's a rare day when I'm not sorry. "
