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Note moyenne de cet épisode: 14.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 1
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14.0
14.0
The 8 Show
Un spin-off de Loft Story à la sauce Squid Game.
Le pitch est simple : on a 8 personnes enfermées dans un complexe hôtelier factice, truffé de caméras, et qui gagnent de l'argent, à chaque minute qui s'écoule. Cela leur permet d'améliorer leur séjour, sous couvert d'en avoir les moyens (car tout est prohibitif) et pour se constituer un pécule avant que le chrono ne tombe à zéro et ne signe la fin du « jeu » pour tout le monde.
Là où les choses se corsent, c'est que chaque candidat ne gagne pas la même chose et qu'il est possible de gagner du temps en plus, même si le comment n'est pas limpide de prime abord…
On y retrouve donc les problèmes d'argent à la mode dans les séries coréennes, problèmes qui poussent les participants à rentrer dans un jeu pervers pour le bonheur de spectateurs tordus.
Coté idée de départ, il y a pas mal d'emprunts, Squid Game bien sûr (sauf que personne n'est sommairement abattu) mais aussi Persons Unknown et la Plateforme pour l'aspect expérience un peu borderline et critique sociale.
On y retrouve les codes du genre : le héros un peu pleutre et niais mais qui a un bon fond, le personnage détestable (mais alors à un point!) la brute, le binoclard intelligent, la personnage qui a un handicap, etc. Rien de bien nouveau à ce niveau là .
La série marche bien dans sa première partie mais assez vite, avec la découverte des vraies règles du jeu, un basculement s'opère et le côté jusque là vraisemblable se perd.
Même dans la dèche absolue, personne ne serait prêt à subir (ou faire subir) un dixième de ce qui y est fait pour un tant soit peu de pognon, la fin donnant quant à elle, dans la surenchère de torture, de brimades et autres supplices. A Clockwork Orange n'est d'ailleurs jamais loin dans les inspirations revendiquées.
Au bout des 8 épisodes, on a pas beaucoup de réponses alors que dans Squid Game, il y avait quand même un début d'enquête pour remonter aux spectateurs/organisateurs/commanditaires.
Une scène post générique est là , pour, et je vous le donne en mille, teaser une éventuelle saison 2.
Bref, ça se regarde assez bien mais ce n'est pas impérissable.
Un spin-off de Loft Story à la sauce Squid Game.
Le pitch est simple : on a 8 personnes enfermées dans un complexe hôtelier factice, truffé de caméras, et qui gagnent de l'argent, à chaque minute qui s'écoule. Cela leur permet d'améliorer leur séjour, sous couvert d'en avoir les moyens (car tout est prohibitif) et pour se constituer un pécule avant que le chrono ne tombe à zéro et ne signe la fin du « jeu » pour tout le monde.
Là où les choses se corsent, c'est que chaque candidat ne gagne pas la même chose et qu'il est possible de gagner du temps en plus, même si le comment n'est pas limpide de prime abord…
On y retrouve donc les problèmes d'argent à la mode dans les séries coréennes, problèmes qui poussent les participants à rentrer dans un jeu pervers pour le bonheur de spectateurs tordus.
Coté idée de départ, il y a pas mal d'emprunts, Squid Game bien sûr (sauf que personne n'est sommairement abattu) mais aussi Persons Unknown et la Plateforme pour l'aspect expérience un peu borderline et critique sociale.
On y retrouve les codes du genre : le héros un peu pleutre et niais mais qui a un bon fond, le personnage détestable (mais alors à un point!) la brute, le binoclard intelligent, la personnage qui a un handicap, etc. Rien de bien nouveau à ce niveau là .
La série marche bien dans sa première partie mais assez vite, avec la découverte des vraies règles du jeu, un basculement s'opère et le côté jusque là vraisemblable se perd.
Même dans la dèche absolue, personne ne serait prêt à subir (ou faire subir) un dixième de ce qui y est fait pour un tant soit peu de pognon, la fin donnant quant à elle, dans la surenchère de torture, de brimades et autres supplices. A Clockwork Orange n'est d'ailleurs jamais loin dans les inspirations revendiquées.
Au bout des 8 épisodes, on a pas beaucoup de réponses alors que dans Squid Game, il y avait quand même un début d'enquête pour remonter aux spectateurs/organisateurs/commanditaires.
Une scène post générique est là , pour, et je vous le donne en mille, teaser une éventuelle saison 2.
Bref, ça se regarde assez bien mais ce n'est pas impérissable.
