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Note moyenne de cet épisode: 15.0 / 20 (2)
Classement cette saison : 1
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greg971 
16.0
16.0
Je trouve que la série est une belle découverte qui nous emporte dans un univers comic book que j'ai trouvé détaillé et credible
D'abord, le contexte avec les infinis, le monde des rêves, la réalité, les enfers etc... on sent un univers maitrisé qui est mis en image de façon soignée. C'est appréciable.
Les personnages sont tous justes et bien joués. C'est bouillonnant, en 1 saison, on a croisé tellement de persos secondaires mais avec à chaque fois le souci d'en dresser un portrait suffisamment précis pour être crédible.
L'histoire est franchement sympathique, avec des recoins qui donnent du volume. Le gars qu'il voit tous les 100 ans par exemple, ça donne une certaine profondeur.
Je pense que c'est une des séries à voir cette année
D'abord, le contexte avec les infinis, le monde des rêves, la réalité, les enfers etc... on sent un univers maitrisé qui est mis en image de façon soignée. C'est appréciable.
Les personnages sont tous justes et bien joués. C'est bouillonnant, en 1 saison, on a croisé tellement de persos secondaires mais avec à chaque fois le souci d'en dresser un portrait suffisamment précis pour être crédible.
L'histoire est franchement sympathique, avec des recoins qui donnent du volume. Le gars qu'il voit tous les 100 ans par exemple, ça donne une certaine profondeur.
Je pense que c'est une des séries à voir cette année
oui oui
14.0
14.0
Quasi vierge de toute connaissance vis à vis de l'œuvre de Gaiman (mis à part l'excellent épisode the Doctor's Wife), j'ai regardé The Sandman car des amis bédéphiles sont particulièrement fans.
Résultat des courses : mitigé.
C'est beau, les SFX sont vraiment léchés et le ratio parfois étrange utilisé ainsi que les distorsions mettent vraiment en valeur l'aspect onirique propre à l'univers du personnage principal.
Le casting est monstrueux, à chaque épisode, la sensation de se dire : « lui, je l'ai déjà vu dans quelque chose » est présente (mention spéciale pour Jenna Coleman qui jure comme un charretier 3).
La bande son est suffisamment travaillée pour contribuer à la mise en place d'une ambiance raccord avec la narration.
Mais le problème n'est pas vraiment là . Car quand bien même l'œuvre est belle, techniquement aboutie, bien jouée, avec des personnages charismatiques, il y a un sérieux problème de rythme et d'enjeux, sans compter que les épisodes sont très inégaux.
Le personnage principal est un anti-héros presque omnipotent et de fait, on s'inquiète rarement pour lui et les menaces qui s'amoncellent semblent bien fades et sont finalement vite résolues par une pirouette scénaristique.
L'aspect du monde éveillé qui se délite en l'absence de Dream n'est pas assez exploité et contribue à rendre les intrigues triviales pour nous autres, commun des mortels.
L'épisode dans le diner est une petite pépite (David Thewlis, impérial dans son rôle) celui avec Death est sympa également mais le suivant est d'un ennui mortel.
Au final, hormis les deux problématiques de la quête des outils et la sauvegarde du monde des rêves contre le vortex, le casting est sous-employé et beaucoup de personnages ne seront pas revus par la suite.
Cette saison 1 est donc une longue exposition d'éléments que j'espère voir approfondis dans une éventuelle saison 2 que je regarderai.
Résultat des courses : mitigé.
C'est beau, les SFX sont vraiment léchés et le ratio parfois étrange utilisé ainsi que les distorsions mettent vraiment en valeur l'aspect onirique propre à l'univers du personnage principal.
Le casting est monstrueux, à chaque épisode, la sensation de se dire : « lui, je l'ai déjà vu dans quelque chose » est présente (mention spéciale pour Jenna Coleman qui jure comme un charretier 3).
La bande son est suffisamment travaillée pour contribuer à la mise en place d'une ambiance raccord avec la narration.
Mais le problème n'est pas vraiment là . Car quand bien même l'œuvre est belle, techniquement aboutie, bien jouée, avec des personnages charismatiques, il y a un sérieux problème de rythme et d'enjeux, sans compter que les épisodes sont très inégaux.
Le personnage principal est un anti-héros presque omnipotent et de fait, on s'inquiète rarement pour lui et les menaces qui s'amoncellent semblent bien fades et sont finalement vite résolues par une pirouette scénaristique.
L'aspect du monde éveillé qui se délite en l'absence de Dream n'est pas assez exploité et contribue à rendre les intrigues triviales pour nous autres, commun des mortels.
L'épisode dans le diner est une petite pépite (David Thewlis, impérial dans son rôle) celui avec Death est sympa également mais le suivant est d'un ennui mortel.
Au final, hormis les deux problématiques de la quête des outils et la sauvegarde du monde des rêves contre le vortex, le casting est sous-employé et beaucoup de personnages ne seront pas revus par la suite.
Cette saison 1 est donc une longue exposition d'éléments que j'espère voir approfondis dans une éventuelle saison 2 que je regarderai.
