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Note moyenne de cet épisode: 17.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 1
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russel 
17.0
17.0
Après une saison 2 un peu mollassonne, on retrouve une rythme nerveux plus proche du démarrage voir un cran au dessus tant j'ai la sensation parfois d'être dans du 24h Chrono avec la même invraisemblance dans les séquences d'action, spécialement avec l'assaut final. Le plus c'est le flegme anglais avec toujours un paquet de bonnes répliques même le small talk est soigné.
Et si on a au premier abord l'impression de boucler simplement un dossier de plus (qui reste d'ailleurs ouvert puisque finalement pas détruit), on prolonge bien le destin de chaque personnage, le plus marquant étant la vérité enfin assénée à Catherine Standish par Jackson Lamb. Lamb qui m'éclate toujours autant en trimballant sa nonchalance désabusée dans le bordel des services. Il est infecte, mais c'est le maitre du château. Si on laisse les effectifs de la Slough House à peu près intactes (Cartwright passe son temps à se faire détruire), c'est en revanche un véritable coup de balai au niveau du Park. Spider, Duffy, Hobbs et ce pauvre Douglas. On ne peut pas dire que les positions soient sécurisées au sein de Slow Horses vu qu'on n'hésite pas à se séparer de récurrents. Ca accorde au show beaucoup de tension dés le moment où personne n'est à l'abri d'une déconvenue. Cet aspect tragique est nécessaire pour compenser la déconne. La série me fait souvent rire et pourrait verser sinon rapidement dans le pastiche inconséquent.
C'est du haut de gamme, je ne me lasse pas du thème de Mick Jagger en générique, quand même classe d'avoir ça en tête de gondole. Je ne comprends pas forcément pourquoi j'ai déjà le lancement de la saison suivante à chaque fin de finale season, comme si celle-ci était déjà tournée. A croire qu'ils en ont déjà une dans les cartons à chaque diffusion.
Et si on a au premier abord l'impression de boucler simplement un dossier de plus (qui reste d'ailleurs ouvert puisque finalement pas détruit), on prolonge bien le destin de chaque personnage, le plus marquant étant la vérité enfin assénée à Catherine Standish par Jackson Lamb. Lamb qui m'éclate toujours autant en trimballant sa nonchalance désabusée dans le bordel des services. Il est infecte, mais c'est le maitre du château. Si on laisse les effectifs de la Slough House à peu près intactes (Cartwright passe son temps à se faire détruire), c'est en revanche un véritable coup de balai au niveau du Park. Spider, Duffy, Hobbs et ce pauvre Douglas. On ne peut pas dire que les positions soient sécurisées au sein de Slow Horses vu qu'on n'hésite pas à se séparer de récurrents. Ca accorde au show beaucoup de tension dés le moment où personne n'est à l'abri d'une déconvenue. Cet aspect tragique est nécessaire pour compenser la déconne. La série me fait souvent rire et pourrait verser sinon rapidement dans le pastiche inconséquent.
C'est du haut de gamme, je ne me lasse pas du thème de Mick Jagger en générique, quand même classe d'avoir ça en tête de gondole. Je ne comprends pas forcément pourquoi j'ai déjà le lancement de la saison suivante à chaque fin de finale season, comme si celle-ci était déjà tournée. A croire qu'ils en ont déjà une dans les cartons à chaque diffusion.
