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Note moyenne de cet épisode: 14.0 / 20 (2)
Classement cette saison : 7
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russel 
12.0
12.0
L'épisode reste cohérent dans ce qu'il raconte, le problème c'est que sur la longueur, on peut commencer à marquer un peu le pas, faute de grosse relance. C'est une habitude de Gilligan d'accorder toujours une part au temps qui passe, synonyme aussi de l'emmerdement. Je crois qu'il l'a fait dans toutes ses séries, y compris dans Breaking Bad (ah l'épisode de la mouche...). Donc pas nécessairement très plaisant et le souci que ça survient alors que le sentiment de torpeur était déjà présent dans les épisodes passés. A un moment donné focaliser trop sur Carol devient problématique parce qu'elle est en circuit fermé et devient simplement exaspérante, pour la ruche, comme pour moi.
L'autre problème c'est que ce n'est pas compensé par autre chose, on reste terriblement fixé sur elle. Et avec Manousos c'est pratiquement pire. Le mec est totalement borné, il doit être un peu autiste, ce n'est pas possible. Le gars ne veut aucune aide, soit. Mais son parcours tient de l'exploit. Ppierre pose la question sur le fait qu'il n'y a pas de grandes routes pour faire le trajet en caisse. Donc si bien évidemment, sauf que Manousos est dans son monde et je suppose qu'il estime qu'il n'y a qu'un moyen de voyager hors de son pays en temps normal (auquel il s'accroche), c'est à la clando. Il ne veut pas tenir compte du fait que le monde a changé. Je ne sais pas ce qu'il a dans la tronche, il répète aux unifiés que la terre ne leur appartient pas. Il doit croire que ce sont de purs extraterrestres à la bodysnatchers? J'étais persuadé que le mec allait se foutre dans la merde et ça n'a pas loupé. On en revient à l'évidence que l'homme est un humain sociable et que seul, il tend à courir à sa perte. Dans le cas de Manousos, comme dans celui de Carol, la série s'arrêtait là s'il n'y avait pas intervention de the Joining. Dans l'idée ça fonctionne, dans l'exécution j'ai trouvé ça laborieux.
Il y a une frustration qui tient au fait où on nous donne de moins en moins d'infos quant au projet de the Joining. C'est forcé puisqu'il y a retrait de leur part sur les deux segments. Mais bon, ça fait partie aussi de ce qui éveille notre curiosité, on ne comprend pas trop ce qu'ils fabriquent désormais. J'observe dans le cas de Manousos qu'il n'y a pratiquement aucune circulation automobile, un peu comme si les normés n'avaient plus à se déplacer, si ce n'est que pour venir en aide aux immunisés. Or il faut quand même turbiner un peu pour que tout continue à fonctionner.
J'ai été épaté par les arbres à pointes dans la forêt. Je pensais presque que c'était une espèce alien, mais en fait le chunga palm existe bien. Au moins, on apprend des trucs.
Donc j'ai du mal à croire que Carol puisse se conformer au monde tel qu'il est dorénavant, même parvenue au bout de la dépression. A voir ce que donne le mélange Carol + Manousos et s'il y aura émulsion pour sauver le monde. Mais pour l'instant c'est le monde qui les sauve.
L'autre problème c'est que ce n'est pas compensé par autre chose, on reste terriblement fixé sur elle. Et avec Manousos c'est pratiquement pire. Le mec est totalement borné, il doit être un peu autiste, ce n'est pas possible. Le gars ne veut aucune aide, soit. Mais son parcours tient de l'exploit. Ppierre pose la question sur le fait qu'il n'y a pas de grandes routes pour faire le trajet en caisse. Donc si bien évidemment, sauf que Manousos est dans son monde et je suppose qu'il estime qu'il n'y a qu'un moyen de voyager hors de son pays en temps normal (auquel il s'accroche), c'est à la clando. Il ne veut pas tenir compte du fait que le monde a changé. Je ne sais pas ce qu'il a dans la tronche, il répète aux unifiés que la terre ne leur appartient pas. Il doit croire que ce sont de purs extraterrestres à la bodysnatchers? J'étais persuadé que le mec allait se foutre dans la merde et ça n'a pas loupé. On en revient à l'évidence que l'homme est un humain sociable et que seul, il tend à courir à sa perte. Dans le cas de Manousos, comme dans celui de Carol, la série s'arrêtait là s'il n'y avait pas intervention de the Joining. Dans l'idée ça fonctionne, dans l'exécution j'ai trouvé ça laborieux.
Il y a une frustration qui tient au fait où on nous donne de moins en moins d'infos quant au projet de the Joining. C'est forcé puisqu'il y a retrait de leur part sur les deux segments. Mais bon, ça fait partie aussi de ce qui éveille notre curiosité, on ne comprend pas trop ce qu'ils fabriquent désormais. J'observe dans le cas de Manousos qu'il n'y a pratiquement aucune circulation automobile, un peu comme si les normés n'avaient plus à se déplacer, si ce n'est que pour venir en aide aux immunisés. Or il faut quand même turbiner un peu pour que tout continue à fonctionner.
J'ai été épaté par les arbres à pointes dans la forêt. Je pensais presque que c'était une espèce alien, mais en fait le chunga palm existe bien. Au moins, on apprend des trucs.
Donc j'ai du mal à croire que Carol puisse se conformer au monde tel qu'il est dorénavant, même parvenue au bout de la dépression. A voir ce que donne le mélange Carol + Manousos et s'il y aura émulsion pour sauver le monde. Mais pour l'instant c'est le monde qui les sauve.
ppierre
16.0
16.0
C'est bien mais je vois déjà les critiques : ouhin il se passe rien.
Mine de rien en cours d'épisode le conteur passe de 12j à 48j...
On débute sur une séquence en miroir de l'introduction de Koumba Diabaté, qui montre comment elle (Carole) traite avec la ruche et comment elle en abuse (bien peu). Cela prend son temps, le temps de montrer son ennui.
En parallèle, Manousos avance dans son trajet. Mais pardonner mon ignorance, il n'y pas de plus grande route ? Ou alors il prend volontairement la route des immigrés clandestins ? J'ai bien peur que cela soit totalement artificiel pour expliquer l'incident qui lui arrive est qui sert à laisser Carole seule pendant plus d'un mois...
D'où l'ellipse de 12 à 48 jours où l'on retrouve une Carole destructive au plus profond de son ennui !
Sans ce vide aider par l'accident de Manousos, on n'aurait pas Carole se jetant dans les bras de la lady pirate !
Prétexte pour avoir une Carole qui compose avec la ruche et un Manousos qui arrivera en retard, mais toujours fermement opposé à la ruche (ayant été soigné à son corps défendant ?).
Bref, c'est toujours aussi bien réalisé. Mais c'est clairement un épisode de transition. Et le scénario souffre de facilités.
"My name is Manousos Oviedo.
I am not one of them.
I wish to save the world."
Mine de rien en cours d'épisode le conteur passe de 12j à 48j...
On débute sur une séquence en miroir de l'introduction de Koumba Diabaté, qui montre comment elle (Carole) traite avec la ruche et comment elle en abuse (bien peu). Cela prend son temps, le temps de montrer son ennui.
En parallèle, Manousos avance dans son trajet. Mais pardonner mon ignorance, il n'y pas de plus grande route ? Ou alors il prend volontairement la route des immigrés clandestins ? J'ai bien peur que cela soit totalement artificiel pour expliquer l'incident qui lui arrive est qui sert à laisser Carole seule pendant plus d'un mois...
D'où l'ellipse de 12 à 48 jours où l'on retrouve une Carole destructive au plus profond de son ennui !
Sans ce vide aider par l'accident de Manousos, on n'aurait pas Carole se jetant dans les bras de la lady pirate !
Prétexte pour avoir une Carole qui compose avec la ruche et un Manousos qui arrivera en retard, mais toujours fermement opposé à la ruche (ayant été soigné à son corps défendant ?).
Bref, c'est toujours aussi bien réalisé. Mais c'est clairement un épisode de transition. Et le scénario souffre de facilités.
"My name is Manousos Oviedo.
I am not one of them.
I wish to save the world."
Pour les nul en géographie comme moi
Bon après le gars Manousos il aurait pu tenter de contourner ce merdier marécageux plein d'épines en passant par la mer en longeant la côte. Bon, il aurait du piquer un pédalo ce qui semble contraire à ses convictions...