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Je trouve quand même que cette deuxième saison a résolu pas mal de lacunes de la première. Moins de politique (discussions du bout de gras interminables), de théatralisation outrancière et artificielle de la narration, enfin surtout on a des personnages beaucoup plus humanisés qui vivent un peu leur destin, sont moins figés dans une position sociale et la posture qui va avec.
Donc j'ai été globalement captivé par toutes les pérégrinations des divers protagonistes. Bien apprécié ces retrouvailles de la famille de Margaret (classe la reconstitution de Brooklyn) et ce qui en découle, cette perte de repères identitaires et de valeurs que représente l'immigration en Amérique. L'air de rien c'est fondateur de la société très dure qui est représentée dans Boardwalk...
Les personnages évoluent tous, intéressante la stature que prend Jimmy, Van Alden toujours tiraillé entre ses faiblesses et ses principes.
Mais surtout je les trouve enfin définitivement tous terriblement humains alors que j'avais un peu du mal à éprouver de l'affect pour les personnages auparavant. Elle devient habitée cette série.
"You're off too, bit by bit. And you think, if I vanished now, who'd care? Or even notice?"
Donc j'ai été globalement captivé par toutes les pérégrinations des divers protagonistes. Bien apprécié ces retrouvailles de la famille de Margaret (classe la reconstitution de Brooklyn) et ce qui en découle, cette perte de repères identitaires et de valeurs que représente l'immigration en Amérique. L'air de rien c'est fondateur de la société très dure qui est représentée dans Boardwalk...
Les personnages évoluent tous, intéressante la stature que prend Jimmy, Van Alden toujours tiraillé entre ses faiblesses et ses principes.
Mais surtout je les trouve enfin définitivement tous terriblement humains alors que j'avais un peu du mal à éprouver de l'affect pour les personnages auparavant. Elle devient habitée cette série.
"You're off too, bit by bit. And you think, if I vanished now, who'd care? Or even notice?"