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Note moyenne de cet épisode: 14.5 / 20 (2)
Classement cette saison : 1
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greg971 
16.0
16.0
Je suis plus généreux que roussel. Déjà j'attendais d'attaquer la série depuis un moment, je ne suis pas au fait de l'histoire de halo et je me mets devant en pur divertissement. Donc si ça zigouille et que j'ai des vaisseaux dans l'espace je suis content.
2 points qui le chiffonent après cet épisode, les cast n'est pas uniforme, j'ai l'impression de passer de bon à bof selon les séquences. Deuxième point, l'acteur principal, je ne m'attendais pas à ça, il a plus la tête jason biggs dans américain pie que d'un spartan, j'aurai plus vu un physique à la ray donovan.
Épisode qui donne envie de voir la suite, j'y vais de ce pas
2 points qui le chiffonent après cet épisode, les cast n'est pas uniforme, j'ai l'impression de passer de bon à bof selon les séquences. Deuxième point, l'acteur principal, je ne m'attendais pas à ça, il a plus la tête jason biggs dans américain pie que d'un spartan, j'aurai plus vu un physique à la ray donovan.
Épisode qui donne envie de voir la suite, j'y vais de ce pas
russel
13.0
13.0
Ok, bon, comme Raised by wolves vient de tirer sa révérence pour sa saison 2 et que je suis devenu allergique au dernières séries Star Trek, pour la SF, il y a désormais Halo. Je n'ai jamais été fan du FPS Microsoft mais j'ai essayé le pilote par curiosité.
Ce qui saute aux yeux, c'est que si la prod est loin d'innover, elle est honorable, en tout cas ne fait jamais étriquée. Visuellement ce space opera est crédible. Une bonne note pour les aliens qui ont une bonne gueule d'humanoïdes de l'espace un peu crados. Les armures des Spartans sont jolies et fidèles au jeu. Donc c'est plutôt rutilant, le numérique passe assez bien.
Après j'ai été étonné par la précipitation au niveau de l'installation à la limite du besogneux. En un épisode on nous colle une fédération humaine, des rebelles et le convenant d'ET... et donc ces gens ne s'entendent pas entre eux. Master Chief est un Spartan, soit un super soldat d'élite et sur ce début de série il nous fait une petite Robocop accélérée (suivie d'une Leon hâtive avec la petite Quan Ah), soit l'homme machine extrêmement modifié qui s'extrait de sa programmation par le biais d'un truc un peu pourri découvert par hasard. Et c'est là que le bas blesse : le QI des showrunners. Autant Foundation avait de sérieux problèmes de développement autant il y avait la matière de base d'Asimov sur laquelle se reposer pour le fond de l'histoire. Alors que là on sent bien qu'il n'y a que dalle. Les mecs ne s'embarrassent pas pour enchaîner les événements et n'ont pas grand chose à faire passer au delà de nous offrir de la baston (avec du gore et même du zigouillage de petites nenfants). Dés que c'est du philosophique, même du politique, on est chez les gogols. Je ne parle même pas des invraisemblances sur lesquelles il vaut mieux glisser pour ne pas choper une migraine (pourquoi les rebelles sont si mal armés?). J'ai été surpris que certains personnages se mettent à parler en coréen à un moment donné alors qu'on est supposé être dans un avenir lointain où on n'en est plus aux multilinguisme. Valable aussi pour la dignitaire qui pratique l'anglais avec un gros accent indien un peu surprenant...
Donc une impression de truc un peu expédié en vitesse rapide et du coup pas très bien construit. Au moins c'est étourdissant, à défaut d'être totalement séduisant. Le gros point fort pour moi, c'est le fait d'avoir filé le rôle de Master Chief à Pablo Schreiber. C'est du taillé sur mesure, je l'avais adoré dans American Gods. Il n'est pas supposé enlever son casque, mais il le fait contrairement au Mandalorian. Et c'est pas plus mal. Il y a aussi Natascha McElhone qui a un peu sa carrière derrière elle et qui tient ici le rôle de savante folle. Il va falloir creuser, les personnages sont quand même réduits à leur plus simple expression à ce stade.
Pour la suite il faudra voir si la dimension divertissement de l'intrigue parviendra à supplanter la faiblesse du propos et les conventions héritées de l'étude de marché. Pas gagné d'avance...
Ce qui saute aux yeux, c'est que si la prod est loin d'innover, elle est honorable, en tout cas ne fait jamais étriquée. Visuellement ce space opera est crédible. Une bonne note pour les aliens qui ont une bonne gueule d'humanoïdes de l'espace un peu crados. Les armures des Spartans sont jolies et fidèles au jeu. Donc c'est plutôt rutilant, le numérique passe assez bien.
Après j'ai été étonné par la précipitation au niveau de l'installation à la limite du besogneux. En un épisode on nous colle une fédération humaine, des rebelles et le convenant d'ET... et donc ces gens ne s'entendent pas entre eux. Master Chief est un Spartan, soit un super soldat d'élite et sur ce début de série il nous fait une petite Robocop accélérée (suivie d'une Leon hâtive avec la petite Quan Ah), soit l'homme machine extrêmement modifié qui s'extrait de sa programmation par le biais d'un truc un peu pourri découvert par hasard. Et c'est là que le bas blesse : le QI des showrunners. Autant Foundation avait de sérieux problèmes de développement autant il y avait la matière de base d'Asimov sur laquelle se reposer pour le fond de l'histoire. Alors que là on sent bien qu'il n'y a que dalle. Les mecs ne s'embarrassent pas pour enchaîner les événements et n'ont pas grand chose à faire passer au delà de nous offrir de la baston (avec du gore et même du zigouillage de petites nenfants). Dés que c'est du philosophique, même du politique, on est chez les gogols. Je ne parle même pas des invraisemblances sur lesquelles il vaut mieux glisser pour ne pas choper une migraine (pourquoi les rebelles sont si mal armés?). J'ai été surpris que certains personnages se mettent à parler en coréen à un moment donné alors qu'on est supposé être dans un avenir lointain où on n'en est plus aux multilinguisme. Valable aussi pour la dignitaire qui pratique l'anglais avec un gros accent indien un peu surprenant...
Donc une impression de truc un peu expédié en vitesse rapide et du coup pas très bien construit. Au moins c'est étourdissant, à défaut d'être totalement séduisant. Le gros point fort pour moi, c'est le fait d'avoir filé le rôle de Master Chief à Pablo Schreiber. C'est du taillé sur mesure, je l'avais adoré dans American Gods. Il n'est pas supposé enlever son casque, mais il le fait contrairement au Mandalorian. Et c'est pas plus mal. Il y a aussi Natascha McElhone qui a un peu sa carrière derrière elle et qui tient ici le rôle de savante folle. Il va falloir creuser, les personnages sont quand même réduits à leur plus simple expression à ce stade.
Pour la suite il faudra voir si la dimension divertissement de l'intrigue parviendra à supplanter la faiblesse du propos et les conventions héritées de l'étude de marché. Pas gagné d'avance...
Sur Allociné lorsque l'on va sur la fiche de la série, il y a un bandeau :
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