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Note moyenne de cet épisode: 14.5 / 20 (2)
Classement cette saison : 7
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russel 
14.0
14.0
Les sketchs étaient plus sympas car moins gratuits. Ca s'explique par le fait que cette fois-ci chacun est chez soi donc en face de ses problèmes personnels. Donc un pastiche de Martin Scorsese d'un côté, un pastiche de Peter Jackson de l'autre. Stylistiquement ça tenait le choc. Mais ça reste des sketchs par ce côté miniature induit par la transe. A voir si le récit parvient à se développer et devenir consistant puisque là les histoires semblent devoir courir sur un autre épisode.
J'ai aussi cru que Jonah Hill jouait le rôle d'une petite fille au tout début. Quand j'ai vu les tatouages j'ai compris que c'était un look gangsta. Mais bon peu importe le rôle puisque l'acteur joue tout pareil. Ce doit être fait exprès, pourtant le personnage n'est pas autiste non plus. En tout cas le résultat est calamiteux, je suppose qu'il n'espère pas un prix pour sa performance.
Mantleray semble plus passionné par sa mère que par l'expérimentation en cours. Je pense qu'il va devoir songer sérieusement à s'appliquer son propre traitement, il en a besoin lui aussi.
J'ai aussi cru que Jonah Hill jouait le rôle d'une petite fille au tout début. Quand j'ai vu les tatouages j'ai compris que c'était un look gangsta. Mais bon peu importe le rôle puisque l'acteur joue tout pareil. Ce doit être fait exprès, pourtant le personnage n'est pas autiste non plus. En tout cas le résultat est calamiteux, je suppose qu'il n'espère pas un prix pour sa performance.
Mantleray semble plus passionné par sa mère que par l'expérimentation en cours. Je pense qu'il va devoir songer sérieusement à s'appliquer son propre traitement, il en a besoin lui aussi.
neimad2
15.0
15.0
Tous les acteurs sont tellement bon, notamment Gabriel Byrne ici, que la nullité de Jonah Hill n'en est que plus flagrante, c'est impressionnant quand même, j'ai même cru en début d'épisode qu'il était censé être déguisé en fillette mongolienne, mais non, c'est un gangster latino, avec dans l'interprétation la conviction d'une girl scout sous ritaline. J'essaie de prétendre qu'il n'est pas là maintenant, et le reste est sympa.
La phase A de l'expérience leur faisait revivre leur pire expérience/traumatisme, en phase B l'ordinateur leur créait des dizaines de fantaisies pour régler des compte avec ses traumatismes (?), comme pour les empêcher, comme Annie qui dit à la mère du chauffeur de pois lourd qu'elle ne devrait pas avoir d'enfant, ou Owen qui à enfin une Connection avec une femme qui l'aime, et le dernier chapitre de Cervantes pour vivre dans un monde imaginaire plutôt que la réalité, ou un truc du genre, mais vu que leur fils étaient connecté c'est encore plus confus, en phase C ils ont une quête pour "vaincre" leur traumatisme, genre Annie doit sauver sa soeur, et Owen enfin s'opposer à son père (?) (son cas est plus compliqué, entre sa schizophrenie et son insipidité...)
Guérir les traumatismes en donnant au cerveau la possibilité de les "prévenir", même virtuellement, peut donner une impression de combler le "j'aurai dû faire ça", toujours est-il que l'épisode était sympa, quelques bons moments, mais une impression d'épisode de transition, je vais enchainer avec le suivant.
La phase A de l'expérience leur faisait revivre leur pire expérience/traumatisme, en phase B l'ordinateur leur créait des dizaines de fantaisies pour régler des compte avec ses traumatismes (?), comme pour les empêcher, comme Annie qui dit à la mère du chauffeur de pois lourd qu'elle ne devrait pas avoir d'enfant, ou Owen qui à enfin une Connection avec une femme qui l'aime, et le dernier chapitre de Cervantes pour vivre dans un monde imaginaire plutôt que la réalité, ou un truc du genre, mais vu que leur fils étaient connecté c'est encore plus confus, en phase C ils ont une quête pour "vaincre" leur traumatisme, genre Annie doit sauver sa soeur, et Owen enfin s'opposer à son père (?) (son cas est plus compliqué, entre sa schizophrenie et son insipidité...)
Guérir les traumatismes en donnant au cerveau la possibilité de les "prévenir", même virtuellement, peut donner une impression de combler le "j'aurai dû faire ça", toujours est-il que l'épisode était sympa, quelques bons moments, mais une impression d'épisode de transition, je vais enchainer avec le suivant.
