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Note moyenne de cet épisode: 11.0 / 20 (1)
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russel 
11.0
11.0
Tous les jeux vidéo semblent devoir y passer à partir du moment où il semble qu'avec le minimum d'efforts consenti, chaque adaptation d'une licence semble en mesure de générer des valises de billets. Warner en s'attaquant à Minecraft conserve le minimum de respect vis à vis du spectateur qu'on lui connait habituellement (pas toujours le cas pour d'autres). L'univers de Minecraft est riche et permet de livrer une production du plus bel effet qui compense le fait que le jeu à la base est moche, même avec un paquet de filtres. Ici tout est sublimé pour soutenir l'attention sur grand écran. Et pour son seul aspect visuel, c'est une réussite qui régale les mirettes, les artistes numériques n'ont rien à se reprocher.
Après Minecraft demeure un bac à sable, ce qui signifie que le scénario n'est pas livré clé en main. Et là il y a un peu de facilité côté Warner parce qu'on nous refourgue paresseusement un nouveau Jumanji, au point que Jack Black est reconvoqué. Autant dire que ça cabotine un maximum sans chercher de nuances qui pourraient rendre les personnages et ce qu'ils traversent réellement captivant, pour peu qu'on ait franchi l'âge de 13 ans. Ca peut même aller jusqu'à l'agacement, avec un Jason Momoa à contre emploi certes, mais qui passe son temps à faire toujours la même chose en parodie approximative du streamer Dr Disrespect. Donc les protagonistes accomplissent leur diverses quêtes sans grandement émouvoir, font des blagues le plus souvent pas drôles et font du craft et du loot pour réjouir la fanbase du jeu.
La séquence post générique indique une suite avec déjà un recrutement d'une actrice rousse envisagé. C'est dire que le succès ne faisait aucun doute initialement (le jeu est très populaire). Il faudra néanmoins creuser un peu plus profond cette fois-ci pour espérer déterrer des diamants...
Après Minecraft demeure un bac à sable, ce qui signifie que le scénario n'est pas livré clé en main. Et là il y a un peu de facilité côté Warner parce qu'on nous refourgue paresseusement un nouveau Jumanji, au point que Jack Black est reconvoqué. Autant dire que ça cabotine un maximum sans chercher de nuances qui pourraient rendre les personnages et ce qu'ils traversent réellement captivant, pour peu qu'on ait franchi l'âge de 13 ans. Ca peut même aller jusqu'à l'agacement, avec un Jason Momoa à contre emploi certes, mais qui passe son temps à faire toujours la même chose en parodie approximative du streamer Dr Disrespect. Donc les protagonistes accomplissent leur diverses quêtes sans grandement émouvoir, font des blagues le plus souvent pas drôles et font du craft et du loot pour réjouir la fanbase du jeu.
La séquence post générique indique une suite avec déjà un recrutement d'une actrice rousse envisagé. C'est dire que le succès ne faisait aucun doute initialement (le jeu est très populaire). Il faudra néanmoins creuser un peu plus profond cette fois-ci pour espérer déterrer des diamants...
