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Note moyenne de cet épisode: 7.0 / 20 (1)
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russel 
7.0
7.0
Il aura fallu que je m'y reprenne à 5 fois pour finir cette nouvelle connerie Netflix. Ca doit être le record pour moi. Bon c'est vrai qu'il n'y avait pas grand chose à en attendre à la base dans la mesure où le gars qui était derrière ce machin comptait pour plus haut fait d'arme la réalisation du catastrophique Rampage avec The Rock. Pour situer c'est en gros la même démarche que sur The Mother, à savoir scénario prétexte susceptible de propulser Jennifer Lopez en héroïne surhumaine, en comptant que la joie de voir la chanteuse actrice commettre des exploits va excuser toutes les indigences narratives.
Donc non, Jennifer Lopez n'était pas crédible en pseudo Jason Bourne féminine qu'en pseudo Ripley de l'espace. L'idée c'est un peu de rendre sympathique les IA qui peuvent être très méchantes et entrainer des désastres, mais aussi vachement sympas et permettre de résoudre tous les conflits ancrés dans son enfance, même quand tu as quand même nettement franchi la cinquantaine. Je n'ai pas trop saisi à quoi servait Atlas dans le film par ailleurs, mis à part pleurnicher et piquer des crises de nerfs sans arrêt. C'était à peu près aussi ridicule que de la voir faire de la cardio dans son droïde (le robot ne peut pas marcher par lui même?). N'eut-il pas été plus simple d'envoyer en mission le robot avec l'IA? Et de foutre au chômage Jennifer Lopez, parce que c'est un peu la logique de cette avancée technologique.
L'ensemble du film semble tourner sous IA par ailleurs, du scénario au concept design qui recycle à peu près tous les assets déjà éprouvés au ciné ou en jeu vidéo ces 10 dernières années. C'est quand même dingue de se balader sur des planètes inconnues et d'être blasé à 100%.
Donc mièvre et nul. Sans surprise.
Donc non, Jennifer Lopez n'était pas crédible en pseudo Jason Bourne féminine qu'en pseudo Ripley de l'espace. L'idée c'est un peu de rendre sympathique les IA qui peuvent être très méchantes et entrainer des désastres, mais aussi vachement sympas et permettre de résoudre tous les conflits ancrés dans son enfance, même quand tu as quand même nettement franchi la cinquantaine. Je n'ai pas trop saisi à quoi servait Atlas dans le film par ailleurs, mis à part pleurnicher et piquer des crises de nerfs sans arrêt. C'était à peu près aussi ridicule que de la voir faire de la cardio dans son droïde (le robot ne peut pas marcher par lui même?). N'eut-il pas été plus simple d'envoyer en mission le robot avec l'IA? Et de foutre au chômage Jennifer Lopez, parce que c'est un peu la logique de cette avancée technologique.
L'ensemble du film semble tourner sous IA par ailleurs, du scénario au concept design qui recycle à peu près tous les assets déjà éprouvés au ciné ou en jeu vidéo ces 10 dernières années. C'est quand même dingue de se balader sur des planètes inconnues et d'être blasé à 100%.
Donc mièvre et nul. Sans surprise.
Jennifer Lopez était plus sexy dans mes souvenirs, moi aussi d'ailleurs, c'est quand même beau de vieillir en même temps que Jlo
Le film se regarde, ce n'est pas le navet de l'année, bon, j'ai regardé avec ma fille de 9 ans, mais j'ai pu suivre le film. Alors que le volet 2 du truc de la lune, bah... Je n'ai pas réussi même avec un peu de bonne volonté