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Note moyenne de cet épisode: 16.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 4
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russel 
16.0
16.0
Et revoici l'interminable spin off de Breaking Bad, enfin dans une bonne configuration puisque que nous sommes ENFIN en présence de Saul dans la pleine possession de ses moyens. L'ensemble des segments sont soignés et dans l'écriture et dans la réalisation. Ce n'est toujours pas du niveau de Breaking Bad, mais ça patine assurément moins, au point ou même le flash forward est pour un coup captivant. On nous gratifie probablement de l'ultime apparition de Ed (après celle dans le dispensable El Camino), puisque Forster sera désormais en indisponibilité. Mais c'est génial qu'il soit là . Et donc à priori il y aura bien une suite assumée à BB dans BCS, les segments futuristes n'étant plus là juste pour la déco avec ce mystérieux Jeff qui a démasqué Saul. Le gars est déjà apparu au volant d'un taxi la saison passée, mais en revanche je ne me souviens pas qu'il ait figuré dans BB. S'ils ont casté Don Harvey pour le rôle c'est qu'il va devenir récurrent durant une poignée d'épisodes.
Le reste du season premiere est vitaminé par un Jimmy qui relance son business sous sa nouvelle identité Saul. Et ça fonctionne. Trop bien peut-être puisque ça déborde déjà sur les activités de Kim. Mais ce n'est pas le seul sujet de satisfaction. L"apport de Lalo est assez essentiel. On a toujours eu besoin dans le l'univers de BB de ce genre de personnage azimuté capable de provoquer une explosion à n'importe quel moment. Clairement il va rapidement devenir insupportable pour tout le monde. Nacho balise, Gus sait déjà qu'il va devoir s'en débarrasser. En tout cas j'adore Lalo, une vraie pain in the ass qui bouffe l'écran, digne de tous les bad boys qui ont pu peupler Breaking Bad.
Gus et Mike enterrent l'affaire allemande tant bien que mal. C'est ma grosse réserve de la saison. Avec le hiatus important qui a eu lieu entre la saison 4 et 5, les acteurs ont pris cher et ne sont plus trop crédibles à mon sens. Ce sont véritablement de vieux messieurs désormais qu'on sent plus proches de la retraite que d'enchaîner avec les événements épiques de Breaking Bad. Et dire qu'il va y avoir encore une ultime saison 6. Gilligan a intérêt à accélérer un peu la cadence (ou utiliser le procédé de rajeunissement numérique). Au moins je reconnais que Bob Ondenkirk parvient encore à bien donner le change sans trop accuser le coup de l'outrage des années.
Le reste du season premiere est vitaminé par un Jimmy qui relance son business sous sa nouvelle identité Saul. Et ça fonctionne. Trop bien peut-être puisque ça déborde déjà sur les activités de Kim. Mais ce n'est pas le seul sujet de satisfaction. L"apport de Lalo est assez essentiel. On a toujours eu besoin dans le l'univers de BB de ce genre de personnage azimuté capable de provoquer une explosion à n'importe quel moment. Clairement il va rapidement devenir insupportable pour tout le monde. Nacho balise, Gus sait déjà qu'il va devoir s'en débarrasser. En tout cas j'adore Lalo, une vraie pain in the ass qui bouffe l'écran, digne de tous les bad boys qui ont pu peupler Breaking Bad.
Gus et Mike enterrent l'affaire allemande tant bien que mal. C'est ma grosse réserve de la saison. Avec le hiatus important qui a eu lieu entre la saison 4 et 5, les acteurs ont pris cher et ne sont plus trop crédibles à mon sens. Ce sont véritablement de vieux messieurs désormais qu'on sent plus proches de la retraite que d'enchaîner avec les événements épiques de Breaking Bad. Et dire qu'il va y avoir encore une ultime saison 6. Gilligan a intérêt à accélérer un peu la cadence (ou utiliser le procédé de rajeunissement numérique). Au moins je reconnais que Bob Ondenkirk parvient encore à bien donner le change sans trop accuser le coup de l'outrage des années.
