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C'était prévisible, Better Call Saul est définitivement devenu une bonne série à partir du moment où l'on a Saul dedans. Limite on aurait pu voir avec plaisir l'avocat dans ses oeuvres durant 2 ou 4 saisons tant il est créatif, c'est lui qui est porteur, pas Jimmy McGill. Cela n'aura pas été la stratégie de Vince Giligan qui aura conservé ça pour la fin, je ne me l'explique toujours pas.
On a néanmoins encore des personnages en situation de dévoiement plus que dans la pure transgression. Saul avec ses boules de bowling qui n'est pas en mesure d'affirmer frontalement son ressentiment envers Howard, Mike qui se teste et n'assume pas encore son passage du mauvais côté. Kim aussi est dans l'hésitation même si elle en arrive toujours à la même solution sur ses cas insolubles : Better Call Saul.
En tout cas il y avait une vraie jubilation à voir Saul performer. Notamment au tribunal quand il inverse son client avec un gusse barbu ramassé à l'avenant. Un culot qui laisse admiratif.
Il y avait aussi la rage froide du reptilien Gus. Il ne fait pas bon être son employé quand il est en train de se faire enfler. Lalo Salamanca ne va pas l'emporter au paradis, ni en enfer.
On a néanmoins encore des personnages en situation de dévoiement plus que dans la pure transgression. Saul avec ses boules de bowling qui n'est pas en mesure d'affirmer frontalement son ressentiment envers Howard, Mike qui se teste et n'assume pas encore son passage du mauvais côté. Kim aussi est dans l'hésitation même si elle en arrive toujours à la même solution sur ses cas insolubles : Better Call Saul.
En tout cas il y avait une vraie jubilation à voir Saul performer. Notamment au tribunal quand il inverse son client avec un gusse barbu ramassé à l'avenant. Un culot qui laisse admiratif.
Il y avait aussi la rage froide du reptilien Gus. Il ne fait pas bon être son employé quand il est en train de se faire enfler. Lalo Salamanca ne va pas l'emporter au paradis, ni en enfer.