"Brillant Minds" est la nouvelle série médicale de NBC ce qui doit être la 50ème du genre. Produite par la société Berlanti (Superman and Lois, Found) elle rappelle des séries du genre The Good Doctor ou New Amsterdam. C'est Spock lui-même alias Zachary Quinto qui s'y colle, un acteur que j'aime bien mais nous sommes loin de son personnage de Spock ou de heroes, c'est plus "convenu" depuis les prestations mémorables de Hugh Laurie (jamais égalé à mon sens).
Comme d'habitude pour le premier épisode d'une série de ce type il convient de respecter un certain canevas pour être efficace.
1/ Une scène d'action percutante et efficace en introduction. Il convient d'intéresser le spectateur de suite en 10 minutes max, sinon c'est cuit et la série n'ira pas très loin.
2/ Décrire le personnage principal. Quel est sa particularité ? Son don ou ses skills ? Il s'agit du Dr Oliver Wolf (je pense que le nom de famille est un clin d'oeil au Dick Wolf des séries télévisées) qui souffre d'un syndrome connu, (Brad Pitt souffre de ce syndrome), qui est de ne pas reconnaitre les gens.C'est un brillant neurologue. C'est un solitaire qui vit entouré de plantes, (des fougères) et qui adore plonger dans l'eau dégueulasse de l'Hudson. En passant il est homosexuel (Quintero est un militant LGBT depuis très longtemps). De courts passages montre ses difficultés enfant avec son père et avec sa mère. Il souffre de par sa maladie de communication avec les autres.
3/ L'environnement. Viré de la structure privée où il bosse il est embauché un peu de force par une collègue d'Université et de travail pour retourner à l'hôpital public du Bronx où il ne veut pas retourner et nous aurons l'explication à la fin. L'hôpital souffre de moyens financiers en baisse et Wolf aura une équipe d'internes de 4 personnes inclusive et où la parité est respectée. Bien sûr il rencontre de l'adversité avec certains membres de l'hôpital.
4/ Le cas présenté. Une mère de famille lobotomisée qui ne reconnait pas ses enfants. Wolf aura à peu près 20 minutes d'épisode pour résoudre le cas. Comme d'hab en 40 minutes tout est rushé et le montage est très cut.
5/ Le twist final malin que je n'ai pas vu arriver et suffisamment malin pour donner envie de jeter un oeil sur l'épisode 2.
Une série convenue bâtie sur des canevas largement éprouvés pour ceux qui ont l'habitude de regarder les séries des Networks mais satisfaisante pour un pilote. A suivre donc.
Comme d'habitude pour le premier épisode d'une série de ce type il convient de respecter un certain canevas pour être efficace.
1/ Une scène d'action percutante et efficace en introduction. Il convient d'intéresser le spectateur de suite en 10 minutes max, sinon c'est cuit et la série n'ira pas très loin.
2/ Décrire le personnage principal. Quel est sa particularité ? Son don ou ses skills ? Il s'agit du Dr Oliver Wolf (je pense que le nom de famille est un clin d'oeil au Dick Wolf des séries télévisées) qui souffre d'un syndrome connu, (Brad Pitt souffre de ce syndrome), qui est de ne pas reconnaitre les gens.C'est un brillant neurologue. C'est un solitaire qui vit entouré de plantes, (des fougères) et qui adore plonger dans l'eau dégueulasse de l'Hudson. En passant il est homosexuel (Quintero est un militant LGBT depuis très longtemps). De courts passages montre ses difficultés enfant avec son père et avec sa mère. Il souffre de par sa maladie de communication avec les autres.
3/ L'environnement. Viré de la structure privée où il bosse il est embauché un peu de force par une collègue d'Université et de travail pour retourner à l'hôpital public du Bronx où il ne veut pas retourner et nous aurons l'explication à la fin. L'hôpital souffre de moyens financiers en baisse et Wolf aura une équipe d'internes de 4 personnes inclusive et où la parité est respectée. Bien sûr il rencontre de l'adversité avec certains membres de l'hôpital.
4/ Le cas présenté. Une mère de famille lobotomisée qui ne reconnait pas ses enfants. Wolf aura à peu près 20 minutes d'épisode pour résoudre le cas. Comme d'hab en 40 minutes tout est rushé et le montage est très cut.
5/ Le twist final malin que je n'ai pas vu arriver et suffisamment malin pour donner envie de jeter un oeil sur l'épisode 2.
Une série convenue bâtie sur des canevas largement éprouvés pour ceux qui ont l'habitude de regarder les séries des Networks mais satisfaisante pour un pilote. A suivre donc.