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Note moyenne de cet épisode: 6.0 / 20 (1)
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russel 
6.0
6.0
Rarement un film n'a porté aussi bien son nom. Quel merdier... Le film a connu visiblement de gros problèmes de production avec masse de reshoots, mais ce n'est pas la seule facture de la mise en scène qui cloche mais bien le principe. Je veux bien que dans le bouquin d'origine (que je n'ai pas lu), imaginer que dans un monde les gens, du moins les hommes, se retrouvent avec leurs pensées qui deviennent publiques puisque sonores ou visualisées, c'est assez audacieux. Encore que le procédé de la pensée holographique est peu abusé dans le domaine de la physique. Toujours est-il que dans le cadre d'un long métrage c'est hyper mal géré et ça devient même rapidement agaçant étant donné que ça parasite un récit qui n'est déjà pas au mieux. Et l'intérêt n'est pas grandissime dans la mesure où les pensées exprimées notamment par Todd (Tom Holland) semblent si limitées qu'elles laissent penser que le protagoniste est à moitié demeuré.
Donc le film est nul, mal pensé du début à la fin. L'histoire est mal racontée, totalement bancale et inintéressante. On se tape de savoir si cette gonzesse pas très sympathique va pouvoir recontacter son vaisseau mère. On ne comprend jamais pourquoi ces colons vivent comme des cow boys, avec des chevaux et des chapeaux alors qu'ils sont issus d'une civilisation capable de parcourir 64 années lumière. A un moment donné on nous signifie que ce monde était habité par des indigènes humanoïdes lors d'une scène de combat absurde qu'il aurait mieux valu virer du montage final. Mais visiblement le réalisateur ne savait plus à quelle branche se raccrocher...
Inquiétant tous ces gros blockbusters qui se succèdent et qui semblent ne plus avoir de véritable lucidité au niveau de la production. Là on est proche de l'amateurisme quand même...
Donc le film est nul, mal pensé du début à la fin. L'histoire est mal racontée, totalement bancale et inintéressante. On se tape de savoir si cette gonzesse pas très sympathique va pouvoir recontacter son vaisseau mère. On ne comprend jamais pourquoi ces colons vivent comme des cow boys, avec des chevaux et des chapeaux alors qu'ils sont issus d'une civilisation capable de parcourir 64 années lumière. A un moment donné on nous signifie que ce monde était habité par des indigènes humanoïdes lors d'une scène de combat absurde qu'il aurait mieux valu virer du montage final. Mais visiblement le réalisateur ne savait plus à quelle branche se raccrocher...
Inquiétant tous ces gros blockbusters qui se succèdent et qui semblent ne plus avoir de véritable lucidité au niveau de la production. Là on est proche de l'amateurisme quand même...
