Retour des séries sur les networks US dans un rythme un peu à l'emporte pièce. Avec l'avènement de Netflix ce modèle a pris bien du plomb dans l'aile et les revenus publicitaires des chaines de télé baissant également le budget des séries a également baissé ce qui a pour conséquence entre autres la rotation des acteurs récurrents au gré des épisodes et une présence moindre sur les désormais 22 épisodes prévus cette saison, ce qui est une bonne nouvelle face aux 13 épisodes de la demi saison dernière. Tourner 22 épisodes par an dans un contexte budgétaire morose est un exploit face aux saison de 8 ou 10 épisodes de Netflix et aux 6 des série Apple comme Slow horses. Moyennant quoi ces séries se retrouvent souvent à remplir les soirées d'été des chaines européennes hertziennes ou de la TNT et sont de plus en plus souvent proposées en prime sur des plateformes.
Certes ma note est hors de proportion évidemment mais encourage les risques pris dans l'écriture de cette série devenant je trouve de plus en plus dure et dark dans l'univers des cop shows des networks.
La saison 11 avait été un peu inégale malgré son espace restreint de 13 épisodes. La saison préparait le départ de Hailey interprété par Tracy Spiridakos qui était devenue ma chouchoute au fil des saisons. Les relations houleuses entre Hailey et Voight auront coûté bien cher au personnage, qui perd son mari et sa santé mentale dans la saison. Une saison qui n'a d'intérêt que dans la poursuite d'un serial killer dont l'identité réelle est assez naze et que Voight retrouve assez rapidement. Ce serial killer pas vraiment original dans le fond aura torturé sévèrement Voight qui ne doit sa vie sauve qu'à l'intervention de Hailey qui se jette dans la gueule du loup pour sauver son boss. Elle quitte l'équipe brusquement mais vivante vers la liberté ?
Cet épisode est monté d'une manière rapide avec des plans serrés et cutés afin de montrer le rythme fou imposé par Voight à son équipe. Les dossiers à traiter s'empilent, les équipes surchauffent et Voight ne rentre même plus chez lui et change juste de polo dans son bureau histoire aussi de montrer que Jason Beighe s'entretient à la salle mais c'est aussi le cas de Ruzek dont la silhouette de l'acteur s'est beaucoup affinée et dont les bonnes joues ont fondu. Un petit passage à la salle où les pikouzes coupe faim sont passées par là . A priori l'action se passe plusieurs semaines après le départ de Hailey, celle-ci à été remplacée par la détective Emily Martel qui a connu Ruzek à l'académie. Le binôme fonctionne bien et Ruzek est une sorte de mentor de la jeune recrue qui comme l'équipe subit le rythme fou de Voight. Cela inquiète sa supérieure Nina Chapman qui tente d'instaurer un dialogue avec lui, c'est un peu devenue la mère poule de Voight remplacant en cela Hailey la seule qui entrait dans le lard de Voight. Ce dernier toujours hanté par les images de son pote Olinsky revenu d'entre les morts pour lui parler lors des scènes de tortures du season final dernier, est devenu une sorte d'ange de la mort, n'ayant plus peu d'elle et capable de regarder dans les yeux les malfrats rendant leur dernier souffle dans la rue. Un épisode tendu comme un string et qui se termine d'une manière totalement abrupte. Ruzek rentre en voiture avec sa collègue Emily et la conversation est plaisante et détendue mais les deux entendent des coups de feu dans le voisinage. Les deux sortent et Ruzek se couvre derrière la voiture pendant que dans l'arrière plan dans le flou on voit Emily tomber comme une poupée de son frappée d'une bastos. Ruzek se tourne vers elle et on voit Emily une balle dans le crâne morte, comme cela....Plan sur Ruzek stupéfiat. Fin. Cut.Musique. Générique. C'est pour cela que j'aime Chicago PD parce que c'est le cop show certainement le plus dur et cruel des cop shows US.
Certes ma note est hors de proportion évidemment mais encourage les risques pris dans l'écriture de cette série devenant je trouve de plus en plus dure et dark dans l'univers des cop shows des networks.
La saison 11 avait été un peu inégale malgré son espace restreint de 13 épisodes. La saison préparait le départ de Hailey interprété par Tracy Spiridakos qui était devenue ma chouchoute au fil des saisons. Les relations houleuses entre Hailey et Voight auront coûté bien cher au personnage, qui perd son mari et sa santé mentale dans la saison. Une saison qui n'a d'intérêt que dans la poursuite d'un serial killer dont l'identité réelle est assez naze et que Voight retrouve assez rapidement. Ce serial killer pas vraiment original dans le fond aura torturé sévèrement Voight qui ne doit sa vie sauve qu'à l'intervention de Hailey qui se jette dans la gueule du loup pour sauver son boss. Elle quitte l'équipe brusquement mais vivante vers la liberté ?
Cet épisode est monté d'une manière rapide avec des plans serrés et cutés afin de montrer le rythme fou imposé par Voight à son équipe. Les dossiers à traiter s'empilent, les équipes surchauffent et Voight ne rentre même plus chez lui et change juste de polo dans son bureau histoire aussi de montrer que Jason Beighe s'entretient à la salle mais c'est aussi le cas de Ruzek dont la silhouette de l'acteur s'est beaucoup affinée et dont les bonnes joues ont fondu. Un petit passage à la salle où les pikouzes coupe faim sont passées par là . A priori l'action se passe plusieurs semaines après le départ de Hailey, celle-ci à été remplacée par la détective Emily Martel qui a connu Ruzek à l'académie. Le binôme fonctionne bien et Ruzek est une sorte de mentor de la jeune recrue qui comme l'équipe subit le rythme fou de Voight. Cela inquiète sa supérieure Nina Chapman qui tente d'instaurer un dialogue avec lui, c'est un peu devenue la mère poule de Voight remplacant en cela Hailey la seule qui entrait dans le lard de Voight. Ce dernier toujours hanté par les images de son pote Olinsky revenu d'entre les morts pour lui parler lors des scènes de tortures du season final dernier, est devenu une sorte d'ange de la mort, n'ayant plus peu d'elle et capable de regarder dans les yeux les malfrats rendant leur dernier souffle dans la rue. Un épisode tendu comme un string et qui se termine d'une manière totalement abrupte. Ruzek rentre en voiture avec sa collègue Emily et la conversation est plaisante et détendue mais les deux entendent des coups de feu dans le voisinage. Les deux sortent et Ruzek se couvre derrière la voiture pendant que dans l'arrière plan dans le flou on voit Emily tomber comme une poupée de son frappée d'une bastos. Ruzek se tourne vers elle et on voit Emily une balle dans le crâne morte, comme cela....Plan sur Ruzek stupéfiat. Fin. Cut.Musique. Générique. C'est pour cela que j'aime Chicago PD parce que c'est le cop show certainement le plus dur et cruel des cop shows US.