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Mais quel casse-bonbons ce Larry ! La séquence sur la grimace du cuistot m'a fait penser à du de Funès.
Encore un très bon épisode avec une Suzie toujours aussi énervée et un Jeff toujours aussi pragmatique.
J'espère qu'on ne va pas en rester là avec le futur gendre, y a moyen d'avoir un beau mariage...
Quant à Lewis, je ne me rappelle pas l'avoir vu autant les saisons passées (hormis celle où il a besoin d'un rein) mais c'est un vrai souffle douleur pour Larry.
Encore un très bon épisode avec une Suzie toujours aussi énervée et un Jeff toujours aussi pragmatique.
J'espère qu'on ne va pas en rester là avec le futur gendre, y a moyen d'avoir un beau mariage...
Quant à Lewis, je ne me rappelle pas l'avoir vu autant les saisons passées (hormis celle où il a besoin d'un rein) mais c'est un vrai souffle douleur pour Larry.
C'est toujours compliqué pour Larry, même avec les choses les plus insignifiantes. Il y a bien la tentative de déchiffrer les expressions des visages, mais quand il est trop largué, ou grillé, il ne reste plus que le reset button. Et même là il y a encore des conséquences. Mais ce qui est toujours drôle c'est que Larry qui s'étonne de la complexité de son entourage ne peut s'empêcher lui même d'en faire des tonnes avec les autres. Bref c'est sans fin et ça fonctionne toujours aussi bien. A noter que la factrice était plus sexy que Newman de Seinfeld, en revanche l'administration postale américaine est toujours aussi peu fiable.