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Ca manque décidément de finesse. On est tellement loin de Jeff Lindsay et même de James Manos le showrunner initial… C'est du petit bras qui n'a pas trop d'idées lumineuses pour mettre en place les situations. C'est par exemple tellement gros que Dexter croise la fliquette chiante de service pile poil quand il passe à la scène de crime de l'hôtel. C'est du cochage de case, il fallait qu'au terme de ce second épisode, Dexter soit 100% opé. Donc il a un job, un pote, une piaule et il s'est même déjà dégotté un serial killer à zigouiller (il ne lui manque plus que la petite amie et un chien). Tout cela en 48h de présence à NY. C'est chiant qu'ils ne fassent pas filer le temps de façon un peu plus plausible. Bon et puis l'Imposteur qui a un hoodie anti selfie, mais qui trouve moyen de se balader avec le sac à dos de service de sa boîte quand il va se farcir un chauffeur uber, c'est quand même pas à niveau avec ce qu'on est en droit d'attendre de ce show. Je n'arrive toujours pas trop à m'intéresser au segment de Uma, mais j'imagine que c'est le fil rouge de la saison… Bon elle se fait une Negan en plein jour et en pleine rue, c'est un brin abusé…
Pour être sympa et trouver un aspect positif dans l'ensemble approximatif, le fait que Harrison continue d'être hanté par ses victimes parce qu'il n'a pas de mentor est bien vu et bien traité. Il va lui falloir son papa assez vite.
Pour être sympa et trouver un aspect positif dans l'ensemble approximatif, le fait que Harrison continue d'être hanté par ses victimes parce qu'il n'a pas de mentor est bien vu et bien traité. Il va lui falloir son papa assez vite.