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Note moyenne de cet épisode: 16.0 / 20 (1)
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russel 
16.0
16.0
Je trouve le titre du film assez générique et pas forcément attractif (sauf pour les gros mordus de Formule 1). Surtout qu'on se doute quel sera le gros moteur du blockbuster : Brad Pitt. Brad Pitt qui est toujours cool quoi qu'il arrive, même en prenant de l'âge et donc Brad Pitt qui est cool également quand il conduit un bolide. Autant dire qu'il n'y a pas de grosses surprises à espérer du film et limite on n'en souhaite pas. Le contrat est rempli si Brad Pitt franchit la ligne d'arrivée le premier et là on a ce sentiment du devoir accompli, le billet est amorti.
Si le scénario est bien moins ambitieux que celui d'un Ford v Ferrari, ça reste de l'ouvrage solide dans la bonne tradition hollywoodienne. On sent le souci de respecter le sport mécanique en ne racontant pas n'importe quoi au niveau du championnat, en s'appuyant sur des faits réels. La compétition n'est pas nécessairement propre, ça magouille dans les stands et au dessus, Sonny Hayes (Pitt) au début semble plus conduire un chasse neige qu'une formule 1. On nous fait comprendre qu'une course ce n'est pas qu'un pilote doué, il y a un paquet de facteurs qui entrent en ligne de compte. Dont pas mal de seconds rôles qui parviennent à exister à l'écran parce qu'ils ne sont pas trop négligés et ce n'est plus si courant.
Techniquement c'est mieux aussi par rapport à ce qui a été servi cet été côté américain. La mise en scène de Kosinski reproduit sur 4 roues ce qui avait été accompli dans les airs avec Top Gun Maverick. Et surtout ce n'est pas monté n'importe comment, même s'il y a du débit de plans. Mais au moins on arrive à avoir des plans qui avoisinent parfois les 5 secondes. C'est nécessaire, ça fait du bien.
Ca ne vise pas plus haut que le divertissement et le film, trop cousu de fil blanc, ne marquera probablement pas l'histoire du cinéma. Néanmoins, c'est plaisant de se divertir avec un spectacle qui n'est pas nécessairement abrutissant.
Si le scénario est bien moins ambitieux que celui d'un Ford v Ferrari, ça reste de l'ouvrage solide dans la bonne tradition hollywoodienne. On sent le souci de respecter le sport mécanique en ne racontant pas n'importe quoi au niveau du championnat, en s'appuyant sur des faits réels. La compétition n'est pas nécessairement propre, ça magouille dans les stands et au dessus, Sonny Hayes (Pitt) au début semble plus conduire un chasse neige qu'une formule 1. On nous fait comprendre qu'une course ce n'est pas qu'un pilote doué, il y a un paquet de facteurs qui entrent en ligne de compte. Dont pas mal de seconds rôles qui parviennent à exister à l'écran parce qu'ils ne sont pas trop négligés et ce n'est plus si courant.
Techniquement c'est mieux aussi par rapport à ce qui a été servi cet été côté américain. La mise en scène de Kosinski reproduit sur 4 roues ce qui avait été accompli dans les airs avec Top Gun Maverick. Et surtout ce n'est pas monté n'importe comment, même s'il y a du débit de plans. Mais au moins on arrive à avoir des plans qui avoisinent parfois les 5 secondes. C'est nécessaire, ça fait du bien.
Ca ne vise pas plus haut que le divertissement et le film, trop cousu de fil blanc, ne marquera probablement pas l'histoire du cinéma. Néanmoins, c'est plaisant de se divertir avec un spectacle qui n'est pas nécessairement abrutissant.
Je reste vraiment sur ma faim, 2h30 de vide avec un rebelle qui ne respecte rien dans un sport ou tout est sous contrôle.
Bref jour de tonnerre reste pour le moment le top niveau film de course.
J'avais hésité à aller voir en 4dx, voir imax mais j'ai bien fait d'économiser mes sous car je ne sais pas vraiment où les sensations du 4dx m'aurait fait vibrer...
Ce que j'ai trouvé le plus faisandé c'était plus les embrouilles de Banning pour liquider son écurie. Mais on est dans un Top Gun sur roulettes encore une fois. Top Gun ce n'est pas la réalité non plus...