Merci Amazon pour le résumé qui permet de rendre la reprise plus fluide parce que j'avais déjà évacué le gros des protagonistes secondaires de ma mémoire. Protagonistes secondaires qui parasitent inutilement d'ailleurs passablement le déroulé principal du récit axé sur le duo Lucy – The Ghoul. Je suppose que l'intérêt étant de bien exploiter l'ensemble du lore de la franchise (la routine dans le vault, etc…). Mais bon, la vie des PNJ, je m'en tapais aussi dans le jeu et c'est un peu exaspérant que la traque de Hank consiste essentiellement en du déplacement plus une petite baston. La relation entre les deux personnages n'évolue pas franchement.
En revanche en atteignant Las Vegas, on nous renforce un peu les rangs des malfaisants qui ont fait de la terre un terrain vague. Robert House semble aussi être une belle ordure avec son plan de non seulement déclencher la destruction de toute société mais en plus envisager de transformer l'espèce humaine en larbins téléguidés. Je ne peux que saluer l'idée de confier le rôle à Justin Theroux. Après certes, on souhaite ardemment que tout ce petit monde paye sévèrement (et tardivement) son addition, mais les choses s'engagent quand même trop laborieusement pour que ça ne devienne proprement haletant. Il faut essentiellement s'en tenir à être charmé par l'impressionnante reconstitution du monde de Fallout en espérant que Bethesda s'en inspire pour booster enfin son moteur graphique pour le prochain volet de la saga à venir…
J'ai bien aimé la soupe aux puces.
"The world may end, but progress marches on "
En revanche en atteignant Las Vegas, on nous renforce un peu les rangs des malfaisants qui ont fait de la terre un terrain vague. Robert House semble aussi être une belle ordure avec son plan de non seulement déclencher la destruction de toute société mais en plus envisager de transformer l'espèce humaine en larbins téléguidés. Je ne peux que saluer l'idée de confier le rôle à Justin Theroux. Après certes, on souhaite ardemment que tout ce petit monde paye sévèrement (et tardivement) son addition, mais les choses s'engagent quand même trop laborieusement pour que ça ne devienne proprement haletant. Il faut essentiellement s'en tenir à être charmé par l'impressionnante reconstitution du monde de Fallout en espérant que Bethesda s'en inspire pour booster enfin son moteur graphique pour le prochain volet de la saga à venir…
J'ai bien aimé la soupe aux puces.
"The world may end, but progress marches on "















