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Note moyenne de cet épisode: 18.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 1
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russel 
18.0
18.0
Toujours très fort cette série. Tant d'idées de réalisation, de finesse d'écriture avec des idées sous-jacentes glissées discrètement et qui reviennent après coup (l'histoire à la con des araignées d'Acapulco top pour couper l'appétit en toute circonstance mais qu'on ressort quand même pour meubler une conversation).
J'étais plié en deux sur pratiquement toutes les scènes de Malvo. Il a un de ces culots. La sortie du comptable traîné hors de son bureau sur plusieurs étages comme si de rien n'était, le remplacement des pilules de Milos avec un timing hallucinant forcément too much mais tellement jouissif... Le personnage bouscule les règles de narration, il est affranchi des conventions du genre. Et c'est bon.
C'est souvent burlesque et ça fonctionne la plupart du temps parce que c'est super maîtrisé dans la mise en scène. Ah la séquence de la visite de Nygaard chez la veuve Hess avec ses deux abrutis de fistons qui se collent des flèches dans le cul dehors en surveillant leur mère au premier plan, puis avec les deux tueurs à gage scrutant la scène encore dans l'arrière fond... un petit bijou.
On n'avance pas forcément des masses, on est plus dans l'observation d'une société dysfonctionnelle pas très reluisante mais en tout cas suffisamment loufoque pour palier sa nature déprimante par une dérision créative. Pour de la télé, je trouve cela vraiment haut de gamme...
"It's already dog-eat-dog, friend. Not sure what worse a bunch a zombies could do.
"
J'étais plié en deux sur pratiquement toutes les scènes de Malvo. Il a un de ces culots. La sortie du comptable traîné hors de son bureau sur plusieurs étages comme si de rien n'était, le remplacement des pilules de Milos avec un timing hallucinant forcément too much mais tellement jouissif... Le personnage bouscule les règles de narration, il est affranchi des conventions du genre. Et c'est bon.
C'est souvent burlesque et ça fonctionne la plupart du temps parce que c'est super maîtrisé dans la mise en scène. Ah la séquence de la visite de Nygaard chez la veuve Hess avec ses deux abrutis de fistons qui se collent des flèches dans le cul dehors en surveillant leur mère au premier plan, puis avec les deux tueurs à gage scrutant la scène encore dans l'arrière fond... un petit bijou.
On n'avance pas forcément des masses, on est plus dans l'observation d'une société dysfonctionnelle pas très reluisante mais en tout cas suffisamment loufoque pour palier sa nature déprimante par une dérision créative. Pour de la télé, je trouve cela vraiment haut de gamme...
"It's already dog-eat-dog, friend. Not sure what worse a bunch a zombies could do.
"
