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Toujours marrant la mise en concurrence des deux baratineurs Don et Pete. Le maître et l'élève médiocre, même si au bout du compte les deux se retrouvent de toute façon toujours assez couillons. Mais et on le comprend bien via les flashbacks sur l'enfance de Don, l'un n'a pas choisi sa nature de tricheur, ça lui est tombé dessus pour fuir une réalité dure. Là où Pete tente juste de dépasser l'ennui de son quotidien en se rêvant par narcissisme plus fringuant moins minable qu'il ne l'est effectivement (Don référence à dépasser).
Même si on s'inscrit dans la continuité du précédent épisode, on reste plus étriqué que le lancement de saison, moins fleuve. On reperd de vue Betty du coup. Megan semble devoir poursuivre le même trajet que l'ex, tandis que le bonheur se fane et que Don est déjà passé à autre chose. Tout lasse, tout casse.
Pas beaucoup de Roger, trop peu de Joan (bien aimé néanmoins son aplomb face à Herb de chez Jaguar)
As my mother used to say, your options were dishonor or war. You chose dishonor, you might still get war.
- That was Churchill.
Même si on s'inscrit dans la continuité du précédent épisode, on reste plus étriqué que le lancement de saison, moins fleuve. On reperd de vue Betty du coup. Megan semble devoir poursuivre le même trajet que l'ex, tandis que le bonheur se fane et que Don est déjà passé à autre chose. Tout lasse, tout casse.
Pas beaucoup de Roger, trop peu de Joan (bien aimé néanmoins son aplomb face à Herb de chez Jaguar)
As my mother used to say, your options were dishonor or war. You chose dishonor, you might still get war.
- That was Churchill.