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Chouette série encore une fois de Mike. Il nous emmène encore une fois dans une autre direction que ce à quoi on pouvais s'attendre.
Par contre, j'ai trouvé les épisodes bien trop lent et long avec des monologue à n'en plus finir qui ne sont franchement pas intéressant dans l'ensemble (pour moi et ma femme en tout cas) mais la série vaut le coup ! La fin est toujours dans ce même sentiment de lenteur (Il met son temps le soleil à venir !!)
On sera là l'année prochaine pour sa prochaine série qui sera d'après une interview du bonhomme, plus rapide :)
Chouette série encore une fois de Mike. Il nous emmène encore une fois dans une autre direction que ce à quoi on pouvais s'attendre.
Par contre, j'ai trouvé les épisodes bien trop lent et long avec des monologue à n'en plus finir qui ne sont franchement pas intéressant dans l'ensemble (pour moi et ma femme en tout cas) mais la série vaut le coup ! La fin est toujours dans ce même sentiment de lenteur (Il met son temps le soleil à venir !!)
On sera là l'année prochaine pour sa prochaine série qui sera d'après une interview du bonhomme, plus rapide :)
Sans Spoiler
Très chouette série, surement meilleure si on ne s'est pas encore fait spoiler la "révélation" sur ce qu'il se passe. J'ai déjà tout dit dans ma critique de l'épisode 3 en fait, mais comme je pense qu'elle mérite qu'on la regarde, et qu'elle ne semble pas faire parler d'elle autant que les "The Haunting of", je la remet ici pour la saison entière.
Nouvelle mini-série de Mike Flanagan, créateur des "The Haunting of". On y retrouve une bonne partie des acteurs d'ailleurs, la réalisation est soignée, plus inspirée et moins “artificielle” que pour Bly Manor, et le tout fait moins étriqué. C'est sans doute une bonne chose qu'il ne soit plus enfermé dans le carcan de “la maison hantée”, il peut explorer d'autre façon de jouer avec le style “horreur et traumatisme”.
Donc après “la famille”, “l'addiction”, et “l'amour” comme moyen pour nous effrayer, il se penche sur la plus terrifiante des inventions humaines: la religion, et ça marche très bien. En tant qu'athée et habitant du XXIème siècle je trouve assez fascinantes les communautés religieuses nord-américaines, leur anachronisme, leur rapport au divin, au mystic, comment le religieux s'est immiscé partout, et régit la vie sociale, il y a un coté exotique, une incompréhension et un effroi, déjà dans la vraie vie (et un soulagement qu'on ait réussit à diminuer son influence ici), qui du coup fonctionne parfaitement dans ce contexte.
J'adore l'ambiance petite ile isolée de l'Atlantique Nord, avec ses maisons de pêcheurs délabrés, et sa communauté écrasée par les réalités économiques et le poids de son histoire. C'est une série très “Stephen King” sans pour autant en être une adaptation directe, on y retrouve ses codes, sa façon de construire une histoire, mais sans le poids qui vient avec le nom, ça laisse de la place pour surprendre. Content de revoir Zach Gilford, que j'ai adoré dans Friday Night Lights, enfin dans une série que je regarde, Samantha Sloyan est détestable à merveille, et Hamish Linklater est assez incroyable en jeune prêtre mystérieux.
Un gros 15, c'est une vraie réussite. La ferveur religieuse est une arme dangereuse.
Très chouette série, surement meilleure si on ne s'est pas encore fait spoiler la "révélation" sur ce qu'il se passe. J'ai déjà tout dit dans ma critique de l'épisode 3 en fait, mais comme je pense qu'elle mérite qu'on la regarde, et qu'elle ne semble pas faire parler d'elle autant que les "The Haunting of", je la remet ici pour la saison entière.
Nouvelle mini-série de Mike Flanagan, créateur des "The Haunting of". On y retrouve une bonne partie des acteurs d'ailleurs, la réalisation est soignée, plus inspirée et moins “artificielle” que pour Bly Manor, et le tout fait moins étriqué. C'est sans doute une bonne chose qu'il ne soit plus enfermé dans le carcan de “la maison hantée”, il peut explorer d'autre façon de jouer avec le style “horreur et traumatisme”.
Donc après “la famille”, “l'addiction”, et “l'amour” comme moyen pour nous effrayer, il se penche sur la plus terrifiante des inventions humaines: la religion, et ça marche très bien. En tant qu'athée et habitant du XXIème siècle je trouve assez fascinantes les communautés religieuses nord-américaines, leur anachronisme, leur rapport au divin, au mystic, comment le religieux s'est immiscé partout, et régit la vie sociale, il y a un coté exotique, une incompréhension et un effroi, déjà dans la vraie vie (et un soulagement qu'on ait réussit à diminuer son influence ici), qui du coup fonctionne parfaitement dans ce contexte.
J'adore l'ambiance petite ile isolée de l'Atlantique Nord, avec ses maisons de pêcheurs délabrés, et sa communauté écrasée par les réalités économiques et le poids de son histoire. C'est une série très “Stephen King” sans pour autant en être une adaptation directe, on y retrouve ses codes, sa façon de construire une histoire, mais sans le poids qui vient avec le nom, ça laisse de la place pour surprendre. Content de revoir Zach Gilford, que j'ai adoré dans Friday Night Lights, enfin dans une série que je regarde, Samantha Sloyan est détestable à merveille, et Hamish Linklater est assez incroyable en jeune prêtre mystérieux.
Un gros 15, c'est une vraie réussite. La ferveur religieuse est une arme dangereuse.
Mais franchement la fin donne vraiment envie de voir la suite parce qu'on s'attendait vraiment pas à ça !